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Ces deux accords de crédit seront utiles pour stabiliser quelque peu la situation économiques et sociale dans un pays confronté à une crise multiforme et à des conflits armés. Le climat des affaires est toujours toxique, ce qui ne permet pas à des entreprises sérieuses de venir investir au pays.
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Le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé, le 15 janvier 2025, deux nouveaux programmes en faveur de la République démocratique du Congo. Il s’agit d’un accord de 38 mois au titre de la facilité élargie de crédit (FEC), d’un montant de 1.332,5 millions de DTS (environ 1.729 millions de dollars), et d’un autre accord de 38 mois au titre de la facilité pour la résilience et la durabilité (FRD), pour un montant de 799,5 millions de DTS (environ 1.038 millions de dollars). Suivant le communiqué du FMI, « Le nouveau programme appuyé par la FEC vise à consolider les progrès accomplis dans le cadre de l’accord FEC de 2021-2024, achevé en juillet 2024, en préservant la stabilité macroéconomique, améliorant l’environnement des affaires, en renforçant la gouvernance et la transparence, et favorisant une croissance inclusive. Ses ambitieux objectifs nécessitent entre autres, de poursuivre les efforts de forte mobilisation des recettes budgétaires et d’approfondir les réformes visant la modernisation de la gestion des finances publiques, en se concentrant sur l’amélioration de l’efficacité et la redevabilité dans l’utilisation des ressources publiques. Le programme appuyé par la FRD vise à aider la RDC à réaliser sa vision stratégique de ‘pays solution’ dans la transition vers une économie mondiale à faible émission de carbone, tout en renforçant sa résilience aux chocs climatiques »…
Ces deux accords de crédit seront utiles pour stabiliser quelque peu la situation économiques et sociale dans un pays confronté à une crise multiforme et à des conflits armés. L’exécution de la FEC a permis à la RD Congo de consolider les réserves de change et de connaitre une forte croissance du PIB prévue à 6,0% en 2024 et de 8,4% en 2023. Mais cette croissance n’est pas inclusive, car elle ne créée pas suffisamment d’emplois. L’inflation qui avait atteint 23,8% à la fin de 2023 a reculé à 12,8% en fin novembre 2024, traduisant ainsi une relative stabilité du taux de change et une meilleure gestion budgétaire. Ainsi, les bénéfices tirés de la FEC se limitent seulement à la stabilisation macroéconomique.
Il reste beaucoup à faire concernant le climat des affaires, la création d’emplois et l’amélioration de la gouvernance. Le pays reste fort dépendant de quelques exportations minières (cuivre, cobalt, or, diamant, pétrole). Le gros de ces exportations est dirigé vers la Chine, soit près de 80% des expéditions, ce qui rend le pays très vulnérable aux chocs externes. Il suffit d’une crise économique en Chine ou d’une baisse des cours des matières premières pour que l’économie congolaise s’effondre. Le climat des affaires est toujours toxique, ce qui ne permet pas à des entreprises sérieuses de venir investir au pays. Un investisseur qui atterrit à l’aéroport de N’djili sera vite déstabilisé par le chaos auquel il fait face, sans compter les embouteillages qu’il doit endurer pour se rendre au centre-ville. Bien pire, les infrastructures essentielles (eau, ports, électricité, routes, chemins de fer) sont gérées par des sociétés en faillite qui répercutent leur gestion prédatrice et la mauvaise qualité des services sur les clients.
Le programme appuyé par la FRD est bienvenu au regard des problèmes créés par le changement climatique. Il sera axé sur la protection des forêts, le renforcement de la résilience aux catastrophes naturelles et sur une meilleure prise en compte des considérations climatiques dans la gestion des investissements publics. Le crédit accordé est cependant faible au regard des besoins. Il y a lieu de se demander comment il va consolider le rôle de « pays solution » de la RD Congo dans la transition vers une économie mondiale à faible émission de carbone. Le pays peine encore à traduire en actions concrètes des promesses, et cela, depuis plusieurs années.
Gaston Mutamba Lukusa
Cher GML,
C’est du foutage de gueules !
A l’aune de ce qui se passe en RDC, depuis plus de six ans, en matière de corruption, détournement de fonds publics par les dirigeants, Le FMI se comporte en véritable receleur. Ce sont nos enfants et petits-enfants qui devront rembourser ces millions.
Ces deux nouveaux programmes du FMI pour la RDC, bien qu’importants pour la stabilité macroéconomique et climatique, sont insuffisants et mal adaptés pour répondre aux défis structurels du pays. Et encore une fois, tant que des mécanismes robustes de suivi et de sanction ne seront pas mis en place, une grande partie de ces fonds risque de disparaître dans des réseaux de détournement, aggravant la misère populaire.
Voici les failles en six points :
1. Le FMI se fiche de notre misère car il ne cherche pas à combattre la corruption. Aucun mécanisme rigoureux et transparent n’est prévu pour suivre l’utilisation des fonds. Quid de la crédibilité d’une telle institution ? L’absence de sanctions effectives contre les dirigeants responsables de détournements fragilise clairement la crédibilité de ce machin FMI.
2. Les montants octroyés sous forme de crédit alourdissent la dette publique sans garantie que les fonds amélioreront les conditions de vie des populations actuelles ou futures.
3. En concentrant les réformes sur les exportations minières, ces programmes ne diversifient pas suffisamment l’économie congolaise, exacerbant sa vulnérabilité aux fluctuations des prix des matières premières.
4. Les 799,5 millions de DTS sont insuffisants pour financer des actions climatiques concrètes dans un pays qui abrite une grande partie des forêts tropicales mondiales.
5. Le rôle de « pays solution » semble plus symbolique que réaliste, en l’absence d’un cadre opérationnel fort. Tout comme avec ‘’l’école gratuite’’, la ‘’maternité gratuite’’, le ‘’peuple d’abord’’. Des slogans fantaisistes et creux.
6. Les programmes se concentrent sur des objectifs macroéconomiques, mais ils ne répondent pas directement aux problèmes du chômage, des infrastructures défaillantes et des services publics dégradés.
FREE MIKE MUKEBAYI !
Mon frère GLM, c’est à avec beaucoup d’intérêt que je parcours vos analyses sur la situation socio-économique de notre pays. Vos arguments sont souvent détaillés pertinents, seulement votre façon de noisir le tableau me paraît un peu exagérée. Sans mauvais esprit, je souhaiterais que fassiez une analyse comparative entre la situation économique congolaise et celles certains pays africains qui connaissent les situations analogues. Sachant d’où vient le Congo après 32 ans de Mobutu et 21 ans des Kabila père et « fils ». Je ne cherche pas à dédouaner le régime actuel, je voulais juste faire appel à votre capaciter de pédagogique pour éclairé ceux qui vous lisent qui seraient tentés de croire que la situation au est pire qu’en Angola, au Nigeria, Cameroun etc…Vous et moi nous savons qu’en matière de mauvais climat des affaires le Congo n’a rien à envier à la majorité des pays Africains, à l’exception des quelques pays de l’Afrique du Nord, les restes connaissent les mêmes fléaux; corruption, népotisme…je ne dis pas que le Congo est une exception, mais lorsqu’on examiné objectivement les indicateurs de chacun des pays africains, je trouve que le Congo s’en sort relativement bien malgré les circonstances. Le FMI ne fait pas des cadeaux, les deux facilités élargies des crédits que le Congo vient de bénéficier sont quand même un gage de relative bonne gouvernance, le rappeler ne coûte rien. Franchement.
TOUT CE QUE FÉLIX ANTOINE TSHILOMBO FAIT EN RDC OCCUPEE QUI NE NUIT PAS A L’EMPIRE HIMA NILOTIQUE EST UNE SIGNATURE SATANO-OCCULTO-NÉCROMANCIENNE (DIABOLIQUE) DES OCCUPANTS RWANDO-OUGANDAIS QUI L’ONT PROPULSÉ AU POUVOIR PROTOCOLAIRE ! La validation des paiements et transactions financières avec le FMI ne nuit point à la continuité du pouvoir génocidaire d’Occupation étrangère RWANDO-OUGANDAISE en RDC occupée, par contre, cet Accord de 38 mois qpres rapports financiers et clôtures comptables des experts du FMI pour deux nouveaux programmes renforce, solidifie, enracine, perpétue et pérennise la présence inique de l’Empire Hima en RDC occupée. Aucune discontinuité d’activité génocidaire sans multiples sonnettes d’alame et moultes procédures d’alerte ne sera constatée apres l’octroi de ses millions de dollars que FATSHI BIDON obtient, injectés par les commanditaires Occidentaux du malheur KONGOLAIS. La continuité [jugée inappropriée pour notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE] des activités nuisibles de l’Empire Hima NILOTIQUE ne sera jamais en péril sur la terre sacrée KONGO DIA NTOTILA après ces plantureuses injections budgétaires et futiles multiplicaeurs des dépenses publiques sans taxes fiscales. Cet honteux ACCORD (UBUESQUE) sous forme d’UBUENGE cher aux NILOTIQUES INIENZI RWANDO-OUGANDAIS venus du Tigré via le Yémen prouve à suffisance que le FMI de la Communauté Imperialiste dite Internationale participe activement et contribue largement dans l’accompagnement et accomplissement du projet hégémonique de l’Empire Hima NILOTIQUE en Afrique Centrale (Région des Grands Lacs Africains)… SANS RÉFLEXION NON PARTISANE NI ANALYSE SÉRIEUSE DES RISQUES SIGNIFICATIFS ENCOURUS PAR LA RDC OCCUPÉE MENACÉE PAR UN ÉCLATEMENT (ÉMIETTEMENT OU BALKANISATION) EN PLUSIEURS MORCEAUX, IL SERA DUR DE RÉGIMBER L’AIGUILLON MORTIFÈRE DU DEAL MAFIEUX SOUS FORME DE CONTRAT INTUITU PERSONAE SIGNÉ À KINGAKATI PAR TSHILOMBO-PÉTAIN AVEC L’IMPOSTEUR RWANDAIS HIPPOLYTE KANAMBE ALIAS JOSEPH KABILA ! Par définition, le RISQUE est la possibilité que se produise un événement qui impacte la réalisation des objectifs fixés. Le RISQUE se mesure généralement en termes des CONSÉQUENCES et PROPABILITÉS […]. Aujourd’hui en délicatesse plausible avec sa propre population qui a compris sa PROBABLE HAUTE TRAHISON aux conséquences séculaires et ses nombreux effets collatéraux (effets secondaires irréversibles), le fils maudit d’Étienne Tshisekedi et Marthe Kasalu qui réalise avec l’accord de l’Empire Hima, quelques éclaboussures (escarmouches) insignifiantes par à coup pour marquer son époque cruelle en réhabilitant certains vieux édifices ou en erigeant certains d’autres ouvrages publics avec des budgets énormes qui ne valent pas ces constructions insignifiantes après réévaluation sans plus-value non exprimée ni réalisée, force est constater que toutes les péréquations budgétaires allouées à plusieurs travaux publics ne reflètent guère les cahiers des charges et la réalisation économico–financière de ces projets que le TRAÎTRE JOUISSEUR FÉLIX ANTOINE TSHILOMBO essaie de faire grâce ou avec la permission de ses Parrains Nilotiques RWANDO-OUGANDAIS qui l’ont mis au pouvoir protocolaire en hypothéquant l’intégrité territoriale de la NATION KONGO DIA NTOTILA. En bref, cet ultime programme du FMI COLONIALISTE de 3 ans (36 mois + 2 mois) équivaut au temps imparti qui reste sur le mandat usurpé de 2023 jusqu’en 2028. Comprenne qui pourra. Pour finir, en JARGON FINANCIER de l’AUDIT EXTERNE que la RDC occupée refuse de s’y soumettre car ne possédant pas l’AUDIT INTERNE [au même titre qu’elle refuse le RECENSEMENT ADMINISTRATIFet SCIENTIFIQUE], lorsqu »il y a existence d’ANOMALIES SIGNIFICATIVES (erreurs, risques et fraudes) dans une organisation, un système financier ou une institution soit-elle politique ou publique, l’Auditeur ou Commissaire doit émettre apres identification et évaluation des risques reels et potentiels, un RAPPORT FINAL avec une OPINION NON MODIFIÉE (SANS RESERVE) si TOUT VA BIEN ou une OPINION MODIFIÉE (AVEC RESERVE, ABSTENTION ou NÉGATIVE càd DÉFAVORABLE) s’il y a des RISQUES et FRAUDES. Après lecture assidue de tout le bordel organisé qui se passe à Kinshasa la Poubelle et ses provincettes médiévales, où l’on remarque l’inexistence de l’impossibilité de recueillir des éléments probants, suffisants et appropriés sur la gestion des risques pour auditer afin de certifier les chiffres et comptes de la comptabilité nationale en émettant le cas échéant l’OPINION « ABSTENTION », le caractère significatif et diffus des anomalies significatives (erreurs, risques et fraudes voire corruptions, détournements des deniers publics, rétrocommissions, conflits d’intérêt, délits d’initié, fausses factures, abus des biens sociaux, comptabilité parallèle, faisceaux d’indices d’enrichissement illicite etc), ce CARACTÈRE SIGNIFICATIF DIFFUS disais-je qui impacte négativement tout le système politico-économico-socio-militaro-spirito-administratif en influant sur les objectifs fixés amènera tout AUDITEUR (COMMISSAIRE) EXTERNE à émettre un RAPPORT FINAL AVEC l’OPINION NÉGATIVE (DÉFAVORABLE) à ce stade-ci pour certifier les COMPTES PUBLICS de la RDC OCCUPÉE. Pourquoi alors le FMI qui a tout l’attirail (équipage) des concepts et principes fondamentaux selon COSO I et COSO II (COSO ERM ou COMMITTEE OF SPONSORING ORGANIZATION ENTERPRISE RISK MANAGEMENT) du CONTRÔLE INTERNE et EXTERNE sur la GESTION DES RISQUES (FRAUDES) FINANCIERS prête-t-il les yeux fermés autant de milliards à Tshilombo-Pétain et ses CONSeillers bras cassés pieds nickelés à l’intelligence d’un cendrier vide ? Poser cette question, c’est déjà y répondre. « Le fanatisme aveugle est une forme d’esclavagisme mental, intellectuel, spirituel, physique et moral » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA
Monsieur Pilipili vit surement sur une autre planete pour ne pas voir les realites vecues a Kinshasa et a l’interieur du pays.Dire que nous devons applaudir cette gouvernance parce que c’est pareil dans d’autres pays africains est inimaginable de la part d’un suppose intellectuel,vraiment une honte. Je paraphrase notre frere Combattant resistant dans l’ombre pour dire que la fanatisme aveugle est une tare,une forme d’esclavagisme mental,intellectuel,spirituel,physique et moral.Vraiment triste