Le débat national réorienté vers la révision constitutionnelle, mobilise des ressources humaines et financières, au détriment de la campagne contre l’occupation rwandaise et l’urgence de ramener les déplacés internes dans leurs villages.
Lubumbashi, le 20 Novembre 2024. L’Institut de recherche en droits humains (IRDH) est profondément préoccupé par la démarche du Président de la République, Son Excellence Monsieur Tshisekedi Tshilombo Felix-Antoine tendant à mobiliser la nation, à consacrer du temps, de l’énergie, des ressources humaines et financières au débat sur la révision ou le changement de la Constitution, au détriment de l’urgente nécessité de maintenir la campagne nationale sur la paix, contre l’occupation rwandaise des territoires au Kivu, ainsi que les guerres des milices en Ituri et au Sud-Kivu.
En effet, le 23 octobre dernier, à Kisangani, le président Tshisekedi avait annoncé la création d’une commission ad hoc qui serait chargée d’étudier l’éventualité d’une révision ou un changement de la Constitution. Il y est largement revenu les 16 et 19 novembre à Lubumbashi et le 17 novembre à Kipushi. Deux notes circulaires de son parti, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), du 11 octobre et 18 novembre 2024, appellent ses instances à se mobiliser, en vue d’obtenir un large soutien à cette réforme.
Et pourtant, le 08 novembre dernier, le parlement venait de renouveler, pour la 85e fois, l’Ordonnance numéro 21/015, du 03 mai 2021, portant proclamation de l’état de siège sur une partie du territoire de la RDC. Les motifs du renouvellement de l’état de siège dans les Province de l’Ituri et du Nord-Kivu sont tels:
- Que la situation qui sévit dans ces deux provinces soit préoccupante, de par sa nature et sa gravité;
- Qu’elle constitue, d’une manière immédiate, une menace contre l’intégrité du territoire national, affectant ainsi le fonctionnement régulier des institutions;
- Que les conséquences néfastes de cette crise sécuritaire imposent des mesures exceptionnelles et urgentes.
Effectivement, des informations largement connues du public et celles venant de l’ONU (HCR), 5,7 millions de personnes sont déplacées internes dans les provinces du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et de l’Ituri. Depuis février 2024, des bombardements aveugles sur Sake et Goma font état des morts et blessés graves. Près de 300.000 personnes ont rejoint les sites déjà surpeuplés, de Goma et ses environs. Des familles continuent d’arriver, traumatisées, épuisées, marquées physiquement et psychologiquement. Nombre d’entre elles déclarent avoir été victimes d’abus sexuels pendant leur fuite. Les conditions dans ces camps sont désastreuses, avec des besoins en abris, installations sanitaires et moyens de subsistance qui dépassent largement les ressources disponibles.
D’après l’ONG « Lutte pour le Changement (LUCHA) », citée par le Journal paraissant à Kinshasa, Actualite.cd, quatre territoires du Nord-Kivu seraient occupés par le Rwanda, par l’entremise du M23. Le Journal cite Masisi (20 entités dont Kitshanga, Mushaki, Karuba, Shasha et Rubaya, Biyambwe); Rutshuru (52 entités dont Runyoni, Bunagana, Kitoboko, Rubare et Kibumb); Nyragongo (8 entités dont Ruringa, Kingarame, Buramba, Heu, Rwibiranda, Tchegera, Kabimbi et Butobya) et Lubero, (7 entités, dont Kanyabayonga, Miriki, Luofu, Kayna, Bulotuwa, Kirumba et Kimaka).
Etant donné que la guerre continue à empirer la situation désastreuse des victimes dans les territoires occupés par le Rwanda et que les deux chambres du parlement viennent d’autoriser des mesures exceptionnelles et urgentes.
IRDH estime que le président Tshisekedi, garant du bon fonctionnement des institutions devrait rester dans la logique de l’état de siège et renoncer à entreprendre une campagne concomitante, sur la révision ou le changement de la Constitution. Une telle initiative est contraire au besoin urgent, ainsi que la nécessité de sécurisation de la population et de récupération de la partie du territoire nationale occupé par les forces rwandaises, sous couvert du M23.
Par ailleurs, toutes les institutions publiques, les partis politiques d’opposition et la société civile devraient demeurer mobilisés sur la cause nationale qui s’impose dans les provinces de l’Ituri, Nord-Kivu et le Sud-Kivu.
Maître Hubert Tshiswaka Masoka
Directeur Général, IRDH.
+243.85.110.3409
Alors que des millions de Congolais subissent les conséquences dévastatrices des conflits dans les provinces de l’Ituri, du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, Félix Antoine Tshilombo semble détourner l’attention nationale vers une entreprise politique de révision constitutionnelle. La raison de cette initiative est très simple : il ne souhaite pas quitter le pouvoir, avant que Jésus-Christ, himself, ne vienne le lui demander. Comme le génie de l’UDPS, le doctrinaire Kabuya, nous avait relevé, il y a déjà un moment.
Très clairement, les priorités nationales sont détournées. Des ressources considérables sont consacrées à cette aventure de la révision (ou changement) constitutionnelle. C’est préoccupant dans le contexte actuel. Les données humanitaires, rapportées notamment par l’ONU et les ONG locales, montrent l’ampleur de la crise : 5,7 millions de déplacés internes, des milliers de victimes de violences, et des conditions désastreuses dans les camps de réfugiés. Face à cette urgence humanitaire, la campagne présidentielle et celle de ses chiens de garde en faveur d’un changement de Constitution apparaît comme un détournement irresponsable des priorités nationales.
L’initiative de révision (ou changement ?) constitutionnelle, annoncée par Tshilombo et les siens, risque de conduire à une dérive autoritaire, permettant un maintien indéfini au pouvoir de cette usine d’incompétents et affairistes. Ce projet menace de déstabiliser davantage les institutions démocratiques déjà fragiles. Le fait que des sommes importantes soient allouées à cette campagne, au détriment des besoins urgents des populations déplacées, par exemple et de la recherche de la paix à l’Est, constitue un acte gravissime de mal-gouvernance et même de haute trahison.
Dans ce contexte, il est impératif que les congolais.e.s se mobilisent pour contrer cette tentative idiote de dérive autoritaire. La résistance doit s’organiser autour de plusieurs axes :
1. Les organisations de la société civile, non encore corrompues par le pouvoir, doivent retrouver leur vocation première : défendre les droits fondamentaux et la dignité des citoyens. Elles devraient sensibiliser les communautés sur les enjeux réels de la révision constitutionnelle et mobiliser l’opinion publique contre cette entreprise.
2. Des campagnes médiatiques doivent être lancées pour dénoncer les priorités mal orientées du gouvernement et plaider pour une allocation des ressources en faveur des déplacés internes et des zones de conflit.
3. L’opposition (existe-elle encore réellement?) doit mettre en avant un programme alternatif centré sur la sécurité, la paix à l’Est et la restauration de l’État de droit. Elle doit également proposer une plateforme unifiée pour contrer les velléités autoritaires du régime.
4. Les leaders politiques doivent porter le débat au niveau international, en sollicitant des pressions diplomatiques pour contraindre le gouvernement à recentrer ses actions sur les priorités nationales, à poursuivre en justice les voleurs des fonds publics qui sèment la misère sociale au pays.
5. L’Église catholique, de par sa doctrine sociale, doit continuer à jouer un rôle de vigie en dénonçant ouvertement les dérives du pouvoir. Elle pourrait également initier un dialogue national inclusif pour réunir toutes les parties prenantes autour de solutions concertées face aux crises sécuritaire et humanitaire.
6. Les citoyens doivent être encouragés à s’organiser pacifiquement pour exprimer leur rejet de la révision constitutionnelle. Des mouvements populaires comme la LUCHA peuvent catalyser cette mobilisation.
7. Des grèves, marches et sit-in peuvent être organisés pour mettre la pression sur le gouvernement, tout en gardant à l’esprit la nécessité de maintenir ces actions non violentes.
On ne le dira jamais assez, le projet de révision (ou changement?) constitutionnelle initié par les chequouleurs bruxellois est non seulement inopportun, mais aussi dangereux pour l’avenir de notre pays. Il détourne des ressources précieuses de crises urgentes, notamment la situation à l’Est, la misère sociale, le pourrissement de nos villes et campagnes. Pour y faire face, une mobilisation concertée et multidimensionnelle des forces vives de la nation est indispensable. Il s’agit non seulement de défendre la démocratie, mais aussi de répondre aux besoins fondamentaux des millions de Congolais affectés par la guerre et la misère.
MIYIBI, arrêtez-vous, repentez-vous et libérez Mike Mukebayi !
Quand le Zaïre était agressé,les pouvoirs publics et le peuple étaient mobilisés. Tout le monde avait les yeux fixés sur l’évolution de la situation au front.
Le Général Président Mobutu enfilait sa tenue de combat et se rendait au lieu de théâtre d’opération pour galvaniser ses troupes. Les médias locaux et étrangers donnaient les informations.
Depuis que le Zaïre est redevenu RDC,c’est l’inconscience qui nous caractérise. On massacre,on viole,on pille dans l’Est,à Kinshasa et ailleurs au pays,on fait la fête. Feti na feti.
La consommation sans modération de la prière,de la bière et de la musique nous fera disparaître comme peuple,notre pays aussi disparaîtra.
1997-2024
27 ans des guerress interminables.
27 ans de paix introuvable.
27 ans des pillages systématiques des ressources naturelles par des prédateurs venus du monde entier.
27 ans de gächis.
Trois régimes inutilement longs.
L’OCCUPATION DE LA RDC (RÉPUBLIQUE DES CIMETIÈRES) DEVRAIT DEMEURER LA PRINCI0ALE PRÉOCCUPATION NATIONALE SI TOUTE LA CLASSE POLITICO-INTELLO-RELIGIEUSE RDCIENNE EN ÉTAIT CONSCIENTE !
« Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale d’être bien adapté à une société malade » dixit Jiddu Krishnamurti. Parler uniquement de l’Occupation du Nord-Kivu et des guerres en Ituri alors que tout le territoire national de notre Grand et Beau Pays est occupé politiquement, administrativement, sociologiquement, spirituellement, militairement et économiquement, c’est de l’hypocrisie pure et simple. Le plateau de Bateke est envahi par les MOBONDO NILOTIQUES depuis plus de 3 ans. Le Grand Kasaï, l’Équateur, le Katanga et le Bas-Kongo sont complètement envahis par des MILICES SUPPÔTS Satano-occulto-nécromanciens de l’Empire Hima (EAC). Il y a déjà 130 localités Kongolaises sous l’administration étrangère des M23/AFC alliés politiques des circonstances de Tshilombo-PÉTAIN qui sont sous la protection du Rwanda de Paul Kagame. Si la RDC occupée était réellement une vraie démocratie au vrai sens du terme, cette occupation étrangère illégale de nos terres serait impossible et Félix Antoine Tshilombo qui est un TRAÎTRE en PUISSANCE n’aurait jamais existé comme président protocolaire nommé par les Occupants Nilotiques Envahisseurs BANYARWANDAS. FATSHI BIDON que l’auteur de cet article surréaliste ménage comme d’habitude pour des raisons connues avait déclaré dans un passé récent que les morceaux de notre TERRE SACRÉE KONGO DIA NTOTILA sont accessoires, dérisoires et négligeables. À cette époque, certains distraits RDCIENS qualifiaient cette déclaration insensée de simple bourde or ce fut une preuve juridique accusatrice de HAUTE TRAHISON qu’un vrai Président de la République ne pouvait oser prononcer même dans un rêve, lui qui a pourtant prêté serment sur la Constitution de garantir l’intégrité territoriale de la RDC occupée. Pour rappel, Tshilombo-Pétain déclara lors d’une visioconférence devant les rebelles et les forces d’autodéfense populaire ceci « Ça ne sert à rien de vous battre pour des morceaux de terres, alors que, c’est la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Est (EAC) qui deviendra notre pays, en fait. Donc, chers compatriotes, veuillez vraiment suivre la voie de la raison comme vous avez commencé, ne vous méfiez pas de moi, ne vous méfiez pas du gouvernement car nous ne sommes pas là pour faire du tort ». Des propos éminemment glaçants qui donnent froid au dos venant d’un pseudo progressiste démocrate qui se dit (se prétend) patriote nationaliste. Si la RDC occupée était un pays normal et une jeune démocratie qui apprend à tâtons ses premiers pas, ce genre des sorties médiatiques serait condamné énergiquement par les parlementaires, les faux opposants Collabos, et les faux mouvements des Droits Humains qui font régulièrement des sorties médiatiques inefficaces comme celle-ci… ARRÊTEZ D’OUBLIER CE QUE VOUS LISEZ (ÉCOUTEZ). PARLER LIBREMENT DE L’OCCUPATION ÉTRANGERE RWANDO-OUGANDAISE SANS MODÉRATION ! Parmi les fruits de l’esprit, outre l’amour, la joie, la paix, la gentillesse, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi et surtout la PATIENCE (LONGANIMITÉ) et lorsque cette dernière et les autres fruits de l’esprit sont combinés avec les 7 dons du Veritable Saint-Esprit (Sagesse, Intelligence ou Science, Conseil, Force, Connaissance Divine d’en Haut, Piété et Crainte du Veritable Dieu), il devient difficile à tout être humain qui est INITIÉ CONSACRÉ d’être indifférent aux malheurs qui frappent les habitants du KONGO depuis 23 ans (2002-3024), d’etre fanatique aveugle ou applaudisseur inconscient des bêtises politiciennes de la Classe Politique pourrie toutes tendances confondues. Cet article pondu par un soi-disant défenseur des droits de l’homme est une litanie des bêtises écrites avec hypocrisie et malignité car Tshilombo-Pétain est toujours sanctifié sournoisement malgré ses maux Kleptocrates et trahisons incontournables. Soit le fils maudit de Marthe Kasalu et Étienne Tshisekedi a un super marabout qui a ensorcelé tous les RDCIENS ou alors les églisettes de sommeil qui n’ont rien du VÉRITABLE DIEU TOUT-PUISSANT [qui vit inexplicablement hors du continuum temps et espace hors de toutes les réalités même au-delà de la non-existence] ont carrément envoûté les 120 millions d’âmes Rdciennes qui les suivent aveuglement. C’est ainsi qu’il est écrit « Laissez-les: ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles; si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse ». Tous ceux qui suivent aveuglement les Politichiens (Société civile politisée comprise) et leurs suppletifs (Faux pasteurs des églises de sommeil Binzambi Nzambi et Prêtres Prélats Religieux de Maman Catho) tomberont à coup sir dans une fosse aux lions. Heureusement le SALUT ÉTERNEL est INDIVIDUEL. Si réellement l’IRDH et la VSV étaient une épine dans le pied de l’Empire Hima (EAC) qui occupe notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE, leurs directeurs exécutifs seront convoqués à la police par le nouveau John Numbi de l’Udps Familiale ou à l’ANR lubalisée par le tueur froid CHRISTIAN NDAYWEL le principal liquidateur mafieux de Limete-Pétunias Sous-Bois. Joseph Ki-Zerbo, historien burkinabè qui militait en faveur de la reconnaissance et du développement de l’Afrique Subsaharienne dit « Dormir sur la natte des autres, c’est comme si on dormait par terre » sous-entendu l’Empire Hima (EAC) protégé par le TRAÎTRE JOUISSEUR Félix Antoine Tshilombo dort par terre en RDC occupée malgré que les RDCIENS contemporains de l’OCCUPATION RWANDO-OUGANDAISE oublient toujours ce qu’ils lisent (écoutent). « Le fanatisme aveugle est une forme d’esclavagisme mental, intellectuel, spirituel, physique et moral » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE INSTANTANÉ. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA