Parti, le 2 août, de Kinshasa à la surprise générale pour la Belgique – pays qu’il considère comme son « autre Congo » -, le chef de l’Etat congolais a regagné la RDC dans la nuit de mardi 6 à mercredi 7 août de la même manière. Sans tambour ni trompette. Quelques heures avant de reprendre son avion, « Felix », comme l’appellent tant ses proches que ses contradicteurs, a accordé une interview au média kinois « Top Congo » au 32 rue Marie de Bourgogne. Christian Lusakueno et l’auteur de ces lignes étaient au micro. Vingt-quatre heures après la diffusion de cet entretien – dont le but était d’estomper les rumeurs alarmistes – la polémique fait rage.
LES RÉACTIONS
Certains auditeurs et téléspectateurs n’ont pas trouvé mieux que s’attarder sur un lapsus du chef de l’Etat. Et ce pour avoir dit « réduire le pouvoir d’achat » en lieu et place de « augmenter le pouvoir d’achat ». Et pourtant, un lapsus est et reste « l’emploi involontaire d’un mot pour un autre ». D’aucuns estiment que Felix Tshisekedi Tshilombo n’aurait pas dû accorder cette interview. Au motif, selon eux, qu’il a semblé parlé sous l’effet de médicaments.
L’hommage rendu, par Felix Tshisekedi, à l’ancien ministre des Finances, Nicolas Kazadi, dans les relations RDC-FMI est tout simplement « imbuvable » pour les Kinois. A tort ou à raison, Kazadi est considéré comme un « voleur ». Et ce en dépit du fait qu’il bénéficie encore de la présomption d’innocence dans le cadre de la surfacturation présumée d’un marché public.
Enfin, « Fatshi » est jugé « trop cach » dans ses propos sur la crise dans l’Est pour avoir traité Paul Kagame de criminel et qualifié « Joseph Kabila » de véritable leader de l’Alliance Fleuve Congo (AFC). Nombreux sont les observateurs qui estiment le chef de l’Etat est apparu « fatigué ». C’est, semble-t-il, qu’il aurait donnée durant les premières minutes de l’émission. La béquille utilisée pour s’appuyer côté gauche est devenue aussi un sujet de controverse. C’est à croire que ceux avaient annoncé la « gravité » de l’état de santé du Président refusent la réalité en face.
Les Congolais seraient-ils de mauvaise foi? Cette question n’est pas du tout une provocation dans la mesure où « Fatshi » avait abordé plusieurs thèmes. Outre son état de santé, il y a eu notamment: la situation socio-économique, le monitoring du gouvernement, le désamour à l’égard du chef de l’Etat, la guerre dans l’Est, la nomination de Constant Mutamba, la modification ou révision de la Constitution.
THEMES DE L’INTERVIEW
La santé du chef de l’Etat. « Je vais très bien. Je crois que ça se voit », a déclaré en liminaire le Président avant d’expliquer dans les détails les raisons qui l’ont poussé à venir poursuivre des soins à Bruxelles après avoir été soigné à l’hôpital du Camp Tshatshi. Comme pour couper court aux rumeurs sur la « gravité » de son hernie discale, il a eu ces mots: « J’ai présidé la réunion du Conseil des ministres du vendredi 2 août avant de m’envoler ». Après les soins, il devait observer quelques jours de convalescence. Les contradicteurs n’ont retenu que le lapsus.
La situation socioéconomique. Le Président de la République a mis l’accent sur le pouvoir d’achat de la population lequel ne cesse de s’éroder face aux fluctuations du dollar. Outre la dépendance de l’économie nationale à la devise américaine, il n’a pas exclu des « sabotages économiques » orchestrés par des ennemis tant internes qu’externes.
Felix Tshisekedi a rendu un hommage à la Première ministre Judith Suminwa Tuluka qui, selon lui, est « à l’œuvre ». Et d’ajouter que le Vice-Premier ministre en charge de l’Economie, Mukoko Samba, a présidé une réunion de la Commission économique et financière. « Un train de mesures urgentes » a été prise en vue de « baisser la tension sur le marché ». Pour lui, c’est un combat en permanence.
Le désamour ambiant. Réélu en décembre dernier avec 73%, on assiste à une ambiance de « désamour » à l’égard du chef de l’Etat. Il n’est pas rare d’entendre des réflexions du genre: « Je suis tshisekediste ‘Etienne’ et non tshisekediste ‘Felix' ». Au motif, selon ces locuteurs, que ce dernier a oublié le mot d’ordre de Tshitshi: « Le peuple d’abord ». Réponse de l’intéressé: « Je n’ai jamais exigé à quelqu’un de m’aimer. La vie d’un Etat n’a jamais été un fleuve tranquille. Il y a des hauts des bas ». Ajoutant: « (…), J’espère qu’en 2028, lorsque nous ferons le bilan, ceux qui disent que je me suis éloigné de Tshisekedi Etienne auront le courage de revenir sur leurs propos ».
La guerre à l’Est. Réaffirmant sa foi au processus de Luanda lequel exige notamment le cantonnement des combattants de M23, le président Felix Tshisekedi n’a pas mâché ses mots en affirmant qu’aussi longtemps qu’il sera à la tête du pays, il n’aura jamais en face la délégation du M23. « Je veux parler au Rwanda », a-t-il souligné. Pour lui, les troupes rwandaises « n’ont qu’à plier bagage ». Et de marteler: « C’est une guerre de conquête territoriale ». Pour lui, il n’y aura pas de négociation au risque d’aboutir aux « mixages » et autres « brassages ».
La modification ou la révision de la Constitution. Le chef de l’Etat a martelé, à ce sujet, qu’il ne voudrait nullement faire modifier la Constitution pour augmenter le nombre de mandat du Président et la durée. Il a clamé sa détestation de la manière dont le découpage territorial a été effectué au point que certains citoyens ayant vécu au chef-lieu de l’ancienne province deviennent des « étrangers ». Et de souligner, au passage, le temps consacré tant à la validation des mandats que l’élection du Bureau de chacune des Chambres. Son vœu est de voir les gouverneurs de provinces redevenir de « grands commis de l’Etat ». Il a déploré le chantage que les députés provinciaux exercent sur les chefs des exécutifs locaux. Le Président de la République espère mettre sur pied une grande commission nationale multidisciplinaire pour examiner la question constitutionnelle. L’ambition, selon lui, est de rapprocher l’Administration de la population.
La cohésion nationale. Répondant à une question sur la nomination-surprise de l’opposant Constant Mutamba au gouvernement, le Président a confirmé qu’il s’agit, à son point de vue, un signe d’ouverture en vue de rassembler. Il aurait fait part de cette volonté de cohésion nationale aux Evêques venus le rencontrer. Il n’a pas exclu un remaniement au début de l’année prochaine.
La diplomatie. Réagissant à une question sur le caractère « velléitaire » des relations entre la Belgique et la RDC, Felix Tshisekedi s’est, au contraire, félicité de l’excellence des rapports entre les deux pays. Selon lui, des contacts sont entretenus au plus haut niveau. Il s’est, par ailleurs, réjoui de l’état des relations entre Kinshasa et Washington.
Baudouin Amba Wetshi
AH BON? LE TOMBEAU EST VIDE? LE ROI EST RESSUSCITE. IL EST MONTE AU CIEL NA MAPATA. WRONG NEWS, FAKE NEWS. LE CULTE ET VIRUS DES LUVUNU SONT ENCRES DANS LES CERVEAUX DES KONGORAISES ET KONGORAIS.
AH OUI, NOUS KONGORAISES ET KONGORAIS AVONS TOUJOURS DE LA FROUSSE ENVERS
LES REVENANTS. NOUS N’INNOVONS PAS, NOUS SOMMES DE VRAIS COPISTES INVERTEBRES EN CHAIR ET EN OS. DE SON VIVANT, IL Y AVAIT EGALEMENT DE FAUX COMMENTARES QUE LUI-MEME LE MARECHAL MOBUTU SESE SEKO AVAIT FABRIQUE TOUTES PIECES POUR FAIRE PEUR AUX OISIFS ET NAIFS KONGOLAIS ET KONGORAISES. OH LE MARECHAL EST EN FUITE, OH MOBUTU NE VIENDRA PLUS, OH LE MARECHAL A PRIS LA POUDRE D’ESCAMPETTE, ON LE MARECHAL EST PARTI SE FAIRE SOIGNER EN SUISSE, OH SESE SEKO EST MORT EN SUISSE PATATI PATATA…. LE CULTE DE LUVUNU REGNE DANS LES GUEULES DES METEQUES KONGOLAISES ET KONGOLAIS. 64 ANS D’INDEPENDANCE NOUS TOURNONS TOUJOURS EN ROND ET SURTOUT LES MASS KONGORAIS ET LEUR PETITS MALINS DES JOURNALISTES CAMOUFLES JALELO NOUS VENDENT MAL LEURS PRODUITS DU FAIT QU’IL DES JOURNALISTES QUI SONT DEVENUS CARDIOLOGUES, NEUROLOGUES, PSYCHIATRES, CHIRURGIENS, ANESTHESISTES EN FAISANT ENDORMIR NOS COMPATRIOTES AVEC LE TRIBALISME SAUVAGE DEGUISE SOUS
UNE AUTRE FORME. BREF, JE NE SUIS PAS CONTRE VOTRE UNION SACREE OU CONTRE L’UDPS ET J’EN PASSE. QUANT A MOI LA SEULE SOLUTION MIRACLE DE SORTIR DE CETTE INCOSCIENCE QUI PERDURE DEPUIS LA PRESENCE SUR CETTE PLANETE TERRE RD KONGO A L’EXEPTION DE L’ERE JOSEPH KASAVUBU ET SON SERIEUX PARTI POLITIQUE ABAKO ( ALLIANCE DES BAKONGOS ), UN PARTI POLITQUE SERIEUX, NON TRIBALISTE, CONSCIENT, RESPECTUEUX. GROSSO-MODO, LA RD KONGO EST TRES MALADE, ON DEOURNE TOUT EN RDKONGO MEME DE LA MERDE PAR CEUX MEMES TRIBALISTES CAMMOUFLES QUI NOUS GOUVERNENT ET QUI SONT AU POUVOIR.
A L’HEURE ACTUELLE, LA RDKONGO A BESOIN PAS DES MASS MEDIA ET POLITICIENS RACONTARDS DES BLA BLA MAIS BIEN DE BONS PSYCHIATRES DANS LE CAS CONTRAIRE ALORS SANS TABOU ET SANS HONTE DECLANCHONS CETTE FAMEUSE MACHINE QUI FAIT PEUR AUX KONGOLAISES ET KONGOLAIS: LA BALKANISATION: MOTU NA MOTU NA MBOKA NAYE NA REGION NAYE PROVINCE NAYE. KIADI KIBENI KUNA NSI RD KONGO.
KIBUTI LUFUTUMUKAAAAAAAA! NE RESTEZ JAMAIS ESCLAVES DES AUTRES QUI PILLENT ET VOUS RENDENT MALHEUREUX.
A BAS LES YIBA YIBA MOKE KASI MOBALI YA TEMBE AYIBAKA YIBA YIBA BA MILLIONS BA MILLIARDS TOKOSUNGA YO NAKOBIMA RD KONGO NA PEPELE YONSO, KOBANGA TE OH, POUVOIR NA BISO EH! BASTA!
JE M’ARRETE ICI:
Voila un mythomane, donc un menteur pathologique! Pire, un irresponsable encourageant sa bande de frappeurs dans l’impunite, et qui n’eprouve aucune honte en rendant hommage aux voleurs affameurs du « peuple d’abord » dans son entourage comme jadis un Vital Kamerhe et aujourd’hui un Nico Kazadi. Bref, qui se ressemble, s’assemble et se protege. Honte bue, chez lui a Bxlles il y etait pour un « petit » controle medical loin de son « Allemagne d’Afrique » C’est depuis tres longtemps que l’opinion mieux informee ne prend plus au serieux ce gros bavard, roublard, jouisseur, faineant-trimbaleur de faux diplomes, qui se croit plutot malin puisqu’il peut s’exprimer en un « Francais des rues de Matonge »!
CETTE ÈME LUNATIQUE SORTIE MÉDIATIQUE DU PRÉSIDENT PROTOCOLAIRE DE L’ALLEMAGNE DES GRANDS-LACS AFRICAINS NOMMÉ PAR LES OCCUPANTS NILOTIQUES RWANDO-OUGANDAIS, C’ÉTAIT DU GRAND N’IMPORTE QUOI. DE CETTE FOLLE INTERVIEW, DEUX MOTS CLÉS SORTENT DU LOT À SAVOIR LA RÉDUCTION DU POUVOIR D’ACHAT ET BORDERLINE ! « Le succès est la somme des petits efforts répétés, jour après jour » dixit Leo Robert COLLIER. Or en RDC occupée et dans sa Diaspora méga réactive non proactive, Le principe de serialité des actes collaborationnistes des Politichiens et intellectuels RDCIENS qui colle au mode opératoire « UBUENGE » des Occupants Nilotiques INIENZI BANYARWANDA consolide le caractère IMPRESCRIPTIBLE du GÉNOCIDE KONGOLAIS OUBLIÉ. Le jugement des traîtres de tout acabit sera sanglant et intransigeant au moment opportun. Parait-il que ce n’est pas n’importe qui, peut tendre son micro à n’importe qui. On croyait simplement que les intervieweurs de FATSHI BIDON EN CARTON sur la Rue Marie Bourgogne à Bruxelles Ya Lola pour TOP-CONGO de triste mémoire étaient [des professionnels] de la trempe des grands journalistes de la plume et du micro qui défendent farouchement le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE et sa DÉMOCRATIE VAILLANTE mais on s’est totalement trompé, ils (Intervieweurs à la solde du néo milliardaire FÉLIX TSHILOMBO) sont des complices et des principaux vecteurs du viol démocratique que subit la RDC occupée car la plume mensongère des scribes journalopes RDCIENS désoriente les VRAIS KONGOLAIS selon le Livre de Jérémie 8 : 8 et leur micro trottoir et balladeur ultra menteur manipule les RDCIENS contemporains de l’OCCUPATION RWANDO-OUGANDAISE comme un HALO COGNITIF SANS GLOIRE. De cette sale interview bizarre, 2 mots ou maux capitaux ressortent en accroche à savoir la RÉDUCTION DU POUVOIR D’ACHAT et BIRDELINE. S’agissant de réduire le pouvoir d’achat des sans-dents RDCIENS au panier de la ménagère troué, ne dit-on pas que c’est de l’abondance du cœur que la bouche parle, si un président fait un lapsus linguae de telle ampleur,
ses interlocuteurs soucieux du bien-être des Kongolais doivent le corriger poliment mais nos journalistes collaborationnistes ont laissé passer cet impair. C’est triste. Quant à BORDERLINE, sûrement Félix Antoine Tshilombo-Pétain Mr l’Escarmouche en Chef est un récidiviste en puissance qui a appris ce « mot » chez ses médecins traitants car tous les Politichiens RDCIENS et FAUX KONGOLAIS sont par dessus tout des personnes BORDERLINES, des individus ESCLAVAGISTRS, COLLABOS, FOUS et VERSATILES sans foi ni morale y compris Moses Soriano alias Moise Katumbi, Hippolyte Kanambe alias Joseph Kabila, Jean-Pierre Bemba Gombo j’ai accepté l’inacceptable, Martin Fayulu-Lamuka, Adolphe Muzito wa Gizenga etc etc. BORDERLINE=FOU, donc Moïse Katumbi est (ou était) un fou même quand il financait stratégiquement UDPS FAMILIALE et les voyages eclairs du mendiant TSHILOMBO entre 2015 et 2018 avec l’argent publicvolé de la GÉCAMINES etla SNCC qu’il a fossoyées. Et celui qui parle ainsi est-il réellement normal puisqu’il n’a plus besoin de ses financements occultes pour nuire notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE ? Selon Félix TSHILOMBO TSHISEKEDI, le Juif-Zambien Moses Soriano alias Moïse KATUMBI CHAPWE est [ou devient] une personne BORDERLINE qui a des troubles de la personnalité ou des troubles mentaux caractérisés par un comportement inconséquent, irresponsable avec des sautes d’humeur et des relations très instables, c’est une qualification injurieuse grave qui peut-être rangée sur la ligne de la PROJECTION PSYCHOLOGIQUE SUR AUTRUI[…]. Rires… FÉLIX ANTOINE TSHILOMBO DIT QU’IL VA TRÈS BIEN ET ÇA SE VOIT ! Le secret médical est exclusivement réservé à l’individu malade et à sa famille mais si Tshilombo-Pétain qui était déjà mediocre, incompétent et nul à chier avec la pleine possession de toutes ses facultés physiques de soi-disant BÉTON EN CARTON et de la pleine possession de ses facultés intellectuelles très amoindries d’ECC Bruxelles, à plus forte raison, le Tshilombo nouveau sorti des bistouris mecaniques qui confond POUVOIR D’ACHAT et INFLATION comme jadis DÉBOISEMENT (DÉFORESTATION) et REVOISEMENT serait une VRAIE LUMIÈRE pour les pauvres RDCIENS sans avenir ? Certaines mauvaises langues diront « Avec quels poumons ? Un moteur révisé plusieurs fois ne graisse-t-il plus bien parce que les cylindres deviennent ovales et les segments n’obéissent plus aux rotations et engrenages dudit moteur révisé ?*. Le fils maudit de Marthe Kasalu et Étienne Tshisekedi veut RÉDUIRE LE POUVOIR D’ACHAT des pauvres RDCIENS démunis, il va falloir l’enfermer au plus vite avant qu’il le fasse car il soutient des VOLEURS et ESCROCS tel que l’enarque raté NICOLAS KAZADI qui vole l’argent public justement pour réduire le pouvoir d’achat des contribuables Kongolais. Répéter inlassablement et volontairement des GROSSES BÊTISES jour après jour conduit inévitablement et irrémédiablement à l’ECHEC non à la RÉUSSITE. « Le fanatisme aveugle est une forme d’esclavagisme mental, intellectuel, spirituel, physique et moral » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE INSTANTANÉ. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA
***DÉBOISEMENT (DÉFORESTATION) et REBOISEMENT…
***qui défendent farouchement le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE et sa DÉMOCRATIE VACILLANTE…
Quelques commentaires :
1. Santé du Président:
Avant d’être président, Félix Tshilombo est avant tout le fils et le père de quelqu’un. Si sa santé est bonne, tant mieux pour lui et sa famille. Cependant, il est important de rappeler que seuls son médecin et peut-être lui-même connaissent réellement son état de santé. Tous ceux qui ont fait médecine ont étudié la sémiologie médicale, et affirmer publiquement « Je vais bien et ça se voit » me semble présomptueux. Cette déclaration n’était pas nécessaire. Mon seul regret, c’est de constater qu’après 64 ans d’indépendance, un président d’une république africaine doit encore se rendre en Belgique pour confirmer un diagnostic médical. C’est une honte. Au fait, combien coûte un tel voyage au trésor public, surtout lorsque les fonctionnaires au pays ne sont pas payés?
2. Nicolas Kazadi:
Nicolas Kazadi n’est ni un génie, ni un super économiste, et Adolphe Muzito n’est pas une référence non plus. Une revue de programme du Fonds Monétaire International (FMI) est un processus régulier où le FMI évalue les progrès d’un pays dans la mise en œuvre des réformes économiques convenues dans le cadre d’un programme de prêt. Ce processus permet de déterminer si le pays respecte les conditions fixées pour continuer à recevoir des financements du FMI. La réussite d’une revue de programme du FMI est généralement attribuée à l’ensemble du gouvernement, incluant le ministre des Finances et le président, ainsi qu’à toutes les institutions impliquées dans la mise en œuvre des réformes.
Les soupçons portés contre Nicolas Kazadi ne sont pas de simples constructions mentales des réseaux sociaux. Ce sont apparemment des faits chiffrés et documentés. Il revient bien sûr à la justice d’enquêter et de juger. Mais nous sommes au Congo et nous savons tous comment fonctionne notre justice. Elle semble malade. Il est toujours troublant de constater qu’un président de la république fait des commentaires favorables à l’égard d’un justiciable soupçonné par la justice.
3. Échange platonique entre Olive Lembe Kabila et Félix Tshilombo:
La femme de Joseph Kabila, président honoraire, a récemment fait une sortie sur TikTok avec une histoire de vestes. Félix Tshilombo, président en exercice, lui répond indirectement en parlant de placards. A-t-on vraiment besoin de sortir les cadavres des placards ? Il y en a déjà beaucoup dans les rues de Kinshasa.
« L’AFC, c’est lui. », Kabila serait donc le patron de cette rébellion qui occupe une grande partie de notre pays. Pourtant, il semble ne pas être inquiété par la justice congolaise, ce que je trouve incompréhensible.
4. Relations avec le Rwanda :
Le président Tshilombo souhaite dialoguer avec le Rwanda, mais il exclut toute négociation qui mènerait aux « mixages » et « brassages » militaires. Cependant, traiter Paul Kagame de « criminel » soulève des questions : veut-on vraiment dialoguer avec un pays dirigé par un « criminel » ?
À mon avis, cela manque de tact diplomatique et de courtoisie. Certes, il a raison d’éviter les brassages et mixages militaires. Mais pourquoi tarde-t-on à expulser les rwandais présents à Kinshasa dans les institutions de la république ? Autre incohérence : on accepte la présence d’une ambassade du Rwanda, pays dirigé par un « criminel », à Kinshasa, et les frontières restent ouvertes entre les deux pays. Tout cela n’a pas de sens.
En fin de compte, un président de la république ne devrait pas faire certaines déclarations. Ce n’est pas la première fois, et cela montre que sa cellule de communication est inefficace.
Les Kongomani ont développé une sorte de syndrome : les idées fixes. Ils se cabrent dès lors qu’une affirmation va à l’encontre du « généralement ou collectivement admis ».
Ainsi,le PR ne peut qu’être à l’article de la mort ! C’était dit, un point trait.Tout agent public ne peut être que corrompu ou détourneur. Il est déjà condamné, rien que pour avoir été « cité »!
Le débat ouvert,les vérifications d’usage n’ont plus cours dans la République des « messieurs qui connaissent tout ».
Ces ‘messieurs qui connaissent tout’ sont appeles chez nous les ‘nionsologues’. Non seulement ils connaissent tout, mais ils ont un point de vue a emettre sur tout, et ils veulent que leurs points de vue soient pris comme verite d’evangile! ‘Le debat ouvert, les verifications d’usage? Ils n’en ont que faire! Voyez comment ils ont tordu le coup au principe sacro-saint de la presomption d’innocence! Pour eux, tout prevenu est coupable jusqu’a preuve du contraire! Vous parlez d’un syndrome!
Cher BAW,
Efforcez-vous d’essayer de le dédouaner mais c’est de l’abondance du cœur que la bouche parle, dit la Bible. Félix a bien dit qu’il rentrait au pays pour « réduire le pouvoir d’achat ». Depuis 25 ans, a-t-on assisté à autre chose que la réduction du pouvoir d’achat de nos populations?
BAW a bien dit qu’il s’agit d’un lapsus. Ne cherchez pas la petite bete! Ca ne vous honore pas, et ca n’edifie personne! Que celui qui n’a jamais fait un lapsus lui jette la premiere pierre!
@BINSONJI E MADILU,
Un lapsus doit être corrigé par le concerné lui-même. OYOKI?
À propos M. le Taliban, à quand la fin des “binsonji e madilu”? Vous continuez à “pleurer” et à vous “lamenter” pendant que vous êtes aux affaires?
KIADI KIBENI EH!
Il ne reste plus à Tshilombo Tshintuntu qu’à évoquer les 32 ans de Mobutu Sese Seko pour justifier ses ratages!
L’entretien que Tshisekedi a accordé à Amba Wetshi et Christian Lusakweno va à coup sur susciter des commentaires dans tout le sens, et c’est bien normal étant donné la conjoncture. Pour ma part, je crois ne pas avoir appris grand chose à part le fait qu’il se porte bien et qu’il allait regagner le pays le plus rapidement possible, cela aura permis de couper court aux spéculations. D’ailleurs les irréductibles anti Tshisekedi et pro Tshisekedi resteront sur leurs positions respectives. Au sujet des liens entre Kabila et AFC de Naanga, l’évidence est telle que cela se voit comme le nez au milieu du visage. il ( Kabila
) n’a jamais démenti depuis l’arrestation à Tanzanie du proche collaborateur de Naanga qui l’a cité nommément. Tshisekedi n’a fait que enfoncer une porte ouverte dans la mesure où il est de notoriété publique que Kabila voulait continuer à gerer le Congo même en ayant quitté le pouvoir officiellement. Concernant la situation socio-économique du pays, je me permets de faire un commentaire
plus approfondie parce qu’il y a incompréhension et simplification sur cette question.
Je ne partage pas les analyses qui sont faites de façon récurrente sur la situation
économique du Congo: il est vrai que notre pays connaît des difficultés économiques( financières, monétaires) dont les conséquences liées aux causes endogènes et exogènes. Comme le Congolais ne vivent pas sur une autres planète, les perturbations de l’économie mondiale ont automatiquement des répercussions sur l’économie congolaise, notamment la guerre Russo-Ukrainienne qui a lourdement pesé sur les économistes de tous les pays. Il convient de préciser que la Russie et l’Ukraine avaient la quasi monopole de l’exportation des engrais, 60 à 80 % des exportations des farines consommées en Afrique sans oublier l’énergie ( essences ou pétrole). la diminution de la production ou l’exportation de ces produits impacte directement notre pays. Pour ce qui est des causes endogènes, la non diversification de notre économie, le manque d’infrastructures de communication ( routes ) sans oublier La corruption, manque de la main d’œuvre qualifiée qui ne favorise productivité du travail. Voilà quelques à mots cequi explique l’état général de notre économie et les conséquences sociales sur le vécu des congolais. L’expression » pouvoir d’achat » sur lequelle Tshisekedi est revenu souvent est parfois employé a tort et à travers; en économie, cela signifie: disposer la capacité monétaire d’acquérir un bien. Ceci implique que ce bien soit disponible sur le marché en quantité suffisante, que le consommateur ait la possibilité de choisir en fonction de ses ressources. C’est en fonction de ces éléments su’on a établi la loi la plus importante en économie: la loi de l’offre et de la demande. Si l’offre des biens est supérieur à la demande, les prix baissent, et au contraire si la demande est supérieur à l’offre des biens, les prix augmentent. Cela peut être mécanique en simplifiant évidemment. Mais les choses ne sont pas aussi simple, d’où les tensions sur le marché des biens et servies qui aboutit à des poussées inflationnistes. Il existe différentes types d’inflations ( l’inflation signifie augmentation générale et durable des prix ). Au Congo, nous consommons 80% de ceque nous ne produisons pas et nous produisons à peu près 80 % de ceque nous ne consommons pas. Ici je fais allusion aux minerais d’où nous tirons 80 % de nos ressources financières, lesquelles ressources allouées à l’achat à l’étranger des biens qui servent à satisfaire nos besoins. Nous vivons dans un système destructuré dont les conséquences sont indéniables sur notre monnaie, notre santé, nos infrastructures etc… c’est une quadrature du cercle. Une explication en relation avec la loi de l’offre et de la demande: admettons p.ex. que le gouvernement décide d’augmenter les salaires aujourd’hui alors que la quantité de biens n’a pas augmenté sur le marché, conséquences: il y aura une injection de la masse monétaire en circulation – je ne vais pas évoquer ici l’aspect technique lié à la vitesse de la circulation de cette masse monétaire
car, c’est un peu fastidieux. La création de cette illusion monétaire résultant du déséquilibre entre l’offre des et la demande va renchérir les prix sur le marché. Les économistes ont théorisé ces genres d’effet par cequ’ils appellent élasticité demande ou élasticité prix. Cela arrivent souvent pendant la période des crise. Pour permettre à la population de maintenir tant soit peu son pouvoir d’achat, le pouvoir public à créé un salaire de base qu’on appelle SMIC ( salaire minimum interprofessionnel de croissance ) donc une rémunération indexée sur la croissance et l’inflation au contraire du SMIG ( salaire minimum interprofessionnel garantis) cela signifie que quelle soit la situation de crise ou de prospérité, le niveau de la rémunération reste le même, cequi n’est pas rationnel en économie . Le danger: c’est le déséquilibre socio-économique. Je me suis permis de m’attarder sur les questions socio-économiques de notre pays parce que en dehors de l’insécurité qui sévit à l’est du pays, l’économie vient en second lieu. Ceci dit, la solution ou les solutions ne sont pas évidentes étant donné cet environnement très instable dans lequel se trouve notre pays. Pour conclure, je dirai que les propos de Tshisekedi en réponse à la demande de congolais d’augmenter leurs pouvoir d’achat n’est pas facile car, le traitement risque de tuer le malade parce que les diagnostics est mal posé et les conséquencesmal évaluées. Je n’ai pas la prétention de tout maîtriser, mais modestement j’essaie d’expliquer à nos concitoyens les mécanismes qui gouvernent les problèmes économiques et sociaux de notre pays. Mon frère Mutamba que je félicite fait un travail utile en vulgarisant ces questions économiques qui ne sont pas à la portée de tous.
Dans tes jeremiades interminables ici, remplies de sophismes d’un pseudo-economiste (genre Kamerhe), tu evites de reponsabiliser ton demi-dieu Felix dans la catastrophe militaro-socio-economique que connait la RDC depuis son bombardement au sommet en 2029 par l’autre fils-a-papa Jo kabila. On te comprend car bien assis a la mangeoire Tshilejlu. Mais tous les Congolais ne sont pas aussi naifs que toi et ton idole le croyez. Les detournements enormes par sa bande (et lui), privant nos jeunes soldats de quoi manger au front, et permettant a ton idole d’aller se la couler douce a l’etranger (tout en blamant les autres dont Kabila et Kagame pour son echec notoire) sont la face visible de l’Iceberg de son incompetence qu’il ne peut cacher …meme pas dans son « Francais de rue » de Matonge!
MUTAMBA?
Ex avocat radie du barreau, un très mauvais choix et un mauvais message en direction du Pouvoir Judiciaire. Quelqu un jugé par le barreau des avocats du Congo ne pas pouvoir assumer sa profession ne peut jamais diriger un ministère de la justice dans un État de droit
@GHOST,
You got it !
Pas etonnant dans un regime (Tshilejelu) sous les bottes d’ex-frappeurs venus de Matonge et leurs wewas-tontons-macoutes. Tenez, quel est le niveau intellectuel d’un Kabuya, de facto numero 2 du regime, sans parler de faux diplomes de son boss?
Cher Ghost,
Juste un questionnement sur le barreau des avocats congolais en ce qui concerne la qualité éthique et déontologique suffit à comprendre l’épaisseur en termes des conflits d’intérêts de tous genres caractérisant des avocats congolais souvent en collusion d’intérêts avec certains magistrats en fonction. A ce niveau de commentaire, je préfère « anonymer », ne pas citer des noms en relevant les cas de deux avocats bruxellois œuvrant concomitamment à Bruxelles et à Kinshasa; ayant disparu avec mon argent depuis 2010. Curieusement, ils ont refait la même aventure avec un monsieur que je sollicite le plus souvent pour l’entretien de ma voiture.
Revenant au ministre GASTON MUTAMBA, je vous informe qu’il a fait preuve d’une moralité exceptionnelle à l’Université protestante de Kinshasa en sa qualité de professeur Assistant.
A ce titre , en dépit de l’état destructuré de notre justice depuis 1960; je ne peux que lui souhaiter pleins succès….
Plus de 60 ans après les indépendances, les africains essaient toujours d’expliquer leur médiocrité en termes de développement en invoquant encore et encore des causes hexogènes. Telle la dollarisation de nos économies.
Certes que la dollarisation d’une économie peut être un obstacle majeur au développement en limitant la flexibilité économique, en augmentant la vulnérabilité aux chocs extérieurs et en réduisant la compétitivité. Toutefois, avec une stratégie bien planifiée qui inclut la diversification économique, le renforcement des capacités locales, et une meilleure intégration régionale, les pays africains peuvent progressivement réduire leur dépendance au dollar et créer une base plus solide pour un développement durable.
Par exemple :
1. Le développement d’un secteur industriel et agricole local robuste peut réduire la dépendance aux importations et au commerce en dollars. Pourquoi nous est-il si difficile pour diversifier notre économie ? Il me semble que c’est essentielle pour diminuer l’impact des fluctuations du dollar sur l’économie locale.
2. Rentrer dans une logique économique panafricaniste régionale en encourageant l’utilisation de monnaies régionales dans les transactions commerciales intra-africaines. L’objectif est toujours de réduire la dépendance au dollar. Créer des zones de libre-échange continentale africaine…Par exemple, des initiatives telles que la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Il faut stimuler le commerce intra-africain et en promouvant l’utilisation des monnaies locales.
3. Arrêter de détourner des millions privant les populations des politiques publiques source de développement et plutôt promouvoir une gestion prudente de la politique budgétaire et la création de réserves de change qui peuvent aider à stabiliser nos économies. Des réserves solides permettent de résister aux chocs externes et de réduire la nécessité d’une dépendance excessive au dollar.
4. Développer des marchés financiers locaux, y compris les marchés de capitaux et les institutions bancaires, pour offrir des alternatives de financement en monnaie locale, réduisant ainsi la nécessité de s’endetter en dollars.
5. Favoriser l’intégration financière au sein des communautés économiques régionales (comme la CEDEAO, la SADC, etc.) pourrait offrir des solutions pour réduire la dépendance au dollar, en créant un marché commun pour les capitaux et en facilitant les échanges dans des devises autres que le dollar.
Faut-il nécessairement sortir de Harvard de Mbandaka pour avoir du bons sens ? Nos ministres sont royalement payés pour faire quoi au juste ? A part boire du Chivas et courir derrière les jeunes filles ? Hein ?
MIYIBI !
TOLEMBI PASI !!
FREE MIKE MUKEBAYI !!!
NI OUBLI NI PARDON (TOKOBOSANA TE MPE TOKOLIMBISA TE). TSHILOMBO-PÉTAIN DOTÉ DES DEFFICIENCES INTELLECTUELLES TRÈS
POUSSÉES FAIT MINE (FAIT BÊTEMENT SEMBLANT) D’IGNORER ET D’OUBLIER TOUT LE MAL GÉNOCIDAIRE QUE SES PARRAINS ET CREATEURS PILITIQUES (PAUL KAGAME, YOWERI MUSEVENI ET HIPPOLYTE KANAMBE ALIAS JOSEPH KABILA) ONT FAIT POUR TRANSFORMER LA RDC OCCUPÉE EN PRISON A CIEL OUVERT QUI EST DEVENU UN HÔPITAL PSYCHIATRIQUE À CIEL OUVERT ! “L’Internet représente une menace pour ceux qui savent et qui décident. Parce qu’il donne accès au savoir autrement que par le cursus hiérarchique » Citation de Jacques Attali, l’un des Juifs Sionistes Occidentaux cerveaux moteurs du NOM (NOUVEL ORDRE MONDIAL) qui peine d’évincer l’ANCIEN ORDRE MONDIAL établi par le VÉRITABLE DIEU TOUT-PUISSANT dans le Jardin d’Éden mi-Astral. Le PEUPLE RDCIEN est couillemollisé à cause de la RELIGIOSITÉ IMBÉCILISANTE (Culcuterie Bondieusarde et Fanatisme aveugle) des églises de Sommeil Binzambi Nzambi érigée comme ADM (Arme de Destruction Massive) par l’Occupation étrangère Rwando-Ougandaise qui a nommé Tshilombo-Pétain président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE qui ment et affirme qu’il doit soi-disant rencontrer Paul Kagame (Hitler Africain) pour lui dire face à face ses quatre vérités alors que c’est son partenaire fiable et privilégié dans le VISIBLE (le jour) et l’INVISIBLE DU VISIBLE (la nuit). Le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE n’a rien fait contre l’Empire Hima NILOTIQUE, le PEUPLE KONGOLAIS HOSPTALIER à outrance qui n’aspirait qu’à une CHOSE : VIVRE EN PAIX chez lui alors que les POLITICHIENS COLLABOS et OCCUPANTS tapis à Kinshasa la Poubelle manigancent mille et une stratégies diaboliques et Satano-occulto-nécromanciennes pour maintenir la flamme génocidaire des tueries dans le Grand Kivu et ailleurs. Le maudit Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi coupable de HAUTE TRAHISON fait semblant de l’ignorer, il démontre somme toute, jour après jour que c’est un individu niais, nul, sournois et hypocrite sans aura ni carrure ni charisme qui a des déficiences intellectuelles très poussées. Que ceux (POLITICHIENS COLLABOS et OCCUPANTS NILOTIQUES INIENZI RWANDO-OUGANDAIS) qui font des millions de saloperies et tueries génocidaires en RDC occupée aillent au Diable, en Enfer des Enfers. Que toute cette engeance des DÉMONS HUMAINS BANYARWANDAS venus du Rwanda et de l’Ouganda soient maudits éternellement… NI PARDON NI OUBLI (TOKOLIMBISA TE MPE TOKOBOSANA TE). SURTOUT ARRÊTEZ DE TRAITER LES VRAIS KONGOLAIS EN PLEINE LÉGITIME DÉFENSE D’ANTI LUBA ET D’ANTI BANYARWANDAS NILOTIQUES. L’OCCUPATION ÉTRANGERE RWANDO-OUGANDAISE JUXTAPOSÉE SUR LA DICTATURE TSHILOMBISTE EST UNE MENACE EFFRAYANTE ET EXTERMINATRICE ! Avoir le courage de remettre en cause ses acquis fanatiques aveugles amène à des nombreuses désillusions qui sont très grandes et feront tomber de haut plusieurs fanatiques aveugles des Politichiens mais au final, c’est pour le mieux afin de rebondir car seuls les imbéciles incohérents et de mauvaise foi ne changent pas d’avis. Les Vrais Kongolais de souche purs sang n’oublieront jamais ce que Hippolyte KANAMBE et Félix Antoine TSHILOMBO Tshisekedi ont fait contre notre TERRE SACRÉE KONGO DIA NTOTILA ces dernières années en RDC occupée pour tuer les Vrais Kongolais qui ne leur pardonneront au grand jamais. Que des individus malades mentaux qui les soutiennent le sachent une bonne fois pour toute. NI PARDON NI OUBLI sera une PHRASE CLÉ pour que plus jamais ces horreurs d’extermination génocidaire des masses Kongolaises soient répétées dans le futur dans notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE. Pas besoin de museler les 15 millions des Kongolais de la DIASPORA libres et détermins, qui n’ont plus besoin d’nfiltrer les RÉSEAUX OCCIDENTAUX et RWANDO-OUGANDAIS LOBBYISTES pour sortir des documents importants et des images glauques qui accusent les COMMANDITAIRES (USA, UE, UK,CANADA, AUSTRALIE…), leurs SOUS-TRAITANTS (RWANDA, OUGANDA, BURUNDI, TANZANIE, KENYA, ANGOLA, EAC…) et les EXÉCUTANTS (POLITICHIENS COLLABOS RDCIENS et OCCUPANTS NILOTIQUES) du GÉNOCIDE KONGOLAIS OUBLIÉ. Pas non plus besoin d’avoir un carnet d’adresses huppé des contacts haut placés pour plaider indéfiniment la cause juste Kongolaise, on peut juste faire « GOOGLE EST MON AMI » sur les sites des SYCOPHANTES et GOLMONS de la COMMUNAUTÉ IMPÉRIALISTE dite INTERNATIONALE qui racontent tout et n’importe quoi sur le RAPPORT MAPPING du machin ONU. Pas besoin aussi des documents de presse des mediamensonges mainstream qui contredisent la thèse de l’Occupation étrangère Rwando-Ougandaise, tout est sur DARKNET WEB [pour les COMPLOTISTES] à la portée de TOUS. Les bonnes sources sûres littéraires sont aussi légions pour étayer les vraies raisons des horreurs génocidaires commises en RDC occupée depuis 30 ans (1994-2024). Le devoir sacré de la RÉSISTANCE COMBATTANTE KONGOLAISE contre l’expansin diabolique de l’EMPIRE HIMA NILOTIQUE dans les Grands-Lacs Africains est de maintenir la FLAMME (FLAMBEAU) allumée pour la leguer aux générations suivantes, c’est une parole d’honneur, un serment divin et un véritable sacerdoce. NI OUBLI NI PARDON. « Le fanatisme aveugle est une forme d’esclavagisme mental, intellectuel, spirituel, physique et moral » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE INSTANTANÉ. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA
Dans cette interview du président,une partie m’a le plus tiqué quand il dédouane Mr Nicolas Kazadi sur les détournements qui pèsent contre lui . J’ai compris que Mr Nicolas n’était pas seul dans cette histoire et je crois que les congolais ont compris ils ont affaire avec qui . Je rappelle seulement à nos amis de l’Udps que 2028 n’est pas loin et que la tâche ne sera pas facile pour eux.
Cher Roger,
Bien dit. Dedouaner de voleurs connus (tenez bien de centaines de $$Millions) tels qu’un Nico Kazadi ou jadis un Vital Kamhere, entre dans la logique de Felix de vouloir laver ses complices, donc ses « petit-ya-confiance » a l’abri de la justice. C’est aussi le fond de notre intervention ci-dessus. Oui 2028 n’est plus loin. La severe sanction des Congolais tombera sur cette bande de criminels-voleurs et leur « Al Capone » au sommet.
Cher Roger,
Vous m’avez poussé à écrire ce qui suit :
La Dette de la RDC : un fardeau pour le peuple ou un instrument de développement ?
La République Démocratique du Congo (RDC) est un pays aux potentialités immenses, riche en ressources naturelles et doté d’une population jeune et dynamique. Pourtant, malgré ces atouts, la RDC est confrontée à des défis socio-économiques majeurs. Parmi ces défis, l’endettement croissant de l’État occupe une place centrale. Récemment, le président de la République a salué les efforts de son ancien ministre des Finances pour avoir mené à terme une revue de programme avec le Fonds Monétaire International (FMI). Cependant, une question fondamentale se pose : cet endettement est-il véritablement synonyme de développement pour le pays ou ne fait-il qu’alourdir le fardeau qui pèse sur le peuple congolais ?
Aujourd’hui, la RDC affiche un niveau d’endettement qui suscite des interrogations. Selon les dernières données disponibles, la dette publique de la RDC s’élève à plusieurs milliards de dollars. Cette dette, bien que jugée soutenable par certaines institutions internationales, représente une charge importante pour un pays où la majorité de la population vit sous le seuil de pauvreté. Chaque année, des millions de dollars sont mobilisés pour le service de la dette, c’est-à-dire pour rembourser les intérêts et le principal des prêts contractés. Ces sommes, qui auraient pu être investies dans des secteurs cruciaux comme la santé, l’éducation ou les infrastructures, finissent dans les caisses des créanciers internationaux.
Il est légitime de se demander à qui profite réellement cet endettement. D’un côté, le FMI et les autres institutions financières internationales prêtent des fonds à la RDC, souvent à des conditions strictes. Ces fonds sont censés soutenir le développement du pays, financer des projets d’infrastructures, ou renforcer les réformes économiques. Cependant, dans la pratique, ces prêts servent parfois des intérêts moins nobles. Il n’est un secret pour personne que la corruption gangrène une partie des administrations publiques en RDC. Des sommes considérables destinées au développement sont détournées au profit de quelques élites, laissant le peuple dans une misère persistante.
Pendant que les gouvernements successifs contractent des dettes au nom du développement, le peuple congolais, lui, continue de souffrir. Les hôpitaux manquent de matériel, les écoles sont sous-financées, et les infrastructures de base font cruellement défaut. Pourtant, c’est ce même peuple qui est appelé à supporter le poids de la dette, à travers les impôts et les sacrifices quotidiens qu’il doit consentir. Il est d’autant plus révoltant de constater que ces dettes, qui sont censées favoriser le développement, n’ont jusqu’à présent que très peu amélioré les conditions de vie des Congolais.
Face à cette situation, il est urgent de repenser la politique d’endettement de la RDC. Certes, l’emprunt peut être un outil puissant pour financer le développement, mais il doit être utilisé avec discernement et responsabilité. Il est essentiel que les autorités congolaises se posent les bonnes questions avant de s’engager dans de nouveaux programmes d’endettement. Quels sont les véritables besoins du pays ? Comment garantir que les fonds empruntés profitent réellement au développement et non à l’enrichissement personnel ? Le peuple congolais ne devrait pas être le dindon de la farce dans ce jeu complexe de la finance internationale.
La dette publique de la RDC est un sujet qui mérite une réflexion approfondie. Elle ne doit pas être perçue comme une simple ligne de crédit, mais comme une responsabilité envers les générations futures. N’en déplaise au Président Tshilombo, le développement d’un pays ne se mesure pas uniquement à sa capacité à emprunter, mais à sa capacité à transformer ces emprunts en bien-être pour sa population. Il est temps que les dirigeants congolais prennent conscience de cette réalité et mettent en place des mécanismes transparents et efficaces pour que la dette devienne un véritable levier de développement, et non un fardeau pour le peuple.
Jo Bongos