Banque mondiale:  la pollution menace deux milliards de personnes

La ville de Kinshasa est fortement polluée. Il existe une pollution causée par des émissions provenant de la combustion du charbon dans les foyers, des automobiles et autres moyens de transport, des installations industrielles ou encore des poussières naturelles et des déchets ménagers. Une véritable bombe toxique.

Gaston Mutamba Lukusa

Le 7 septembre, la Banque mondiale a publié un dossier sur la pollution atmosphérique, à l’occasion de la Journée internationale de l’air pur pour des ciels bleus. Suivant cette institution de Bretton Woods, « un air sain rime avec des économies plus prospères, des populations en meilleure santé, moins de dépenses médicales pour les familles et des enfants en meilleure capacité d’apprendre. Un air sain, c’est indispensable pour la santé de l’environnement et c’est bon pour le climat » »

Un tueur silencieux

La pollution de l’air constitue aujourd’hui le plus grand risque pour l’environnement. Elle ne connaît pas de frontières. Selon les Nations Unies, la pollution de l’air touche chacun d’entre nous, menace notre santé et contribue au changement climatique. Des particules de pollution minuscules et invisibles pénètrent profondément dans nos poumons, notre circulation sanguine et nos corps. Ces polluants sont responsables d’environ un tiers des décès par AVC (accident vasculaire cérébral), maladie respiratoire chronique et cancer du poumon, ainsi que d’un quart des décès par crise cardiaque. L’ozone troposphérique, produit pas l’interaction de nombreux polluants différents à la lumière du soleil, est également une cause d’asthme et de maladies respiratoires chroniques. Beaucoup de pays et villes se sont investis pour améliorer la qualité de l’air. Ainsi, la ville de Mexico a réduit de 70% la pollution depuis les années 1970 et en Chine, la province du Hebei est parvenue à une baisse de 40 % entre 2013 et 2017. Hebei, qui est un grand centre manufacturier, fournit acier, ciment et verre aux provinces et villes voisines, notamment Beijing et Tianjin.

Au tournant des années 2000, les effets délétères des décennies d’industrialisation sur la qualité de l’air et sur les 74 millions d’habitants de la province sont devenus manifestes. Un épais smog enserrait les agglomérations de Shijiazhuang, Tangshan et Baoding. En cause notamment, l’activité industrielle, les émissions automobiles et l’utilisation d’appareils de cuisson au charbon. Un programme de prévention et de lutte contre la pollution atmosphérique fut mené avec succès entre 2014 et 2019 par les autorités provinciales. Une étude de la Banque mondiale souligne qu’une diminution de 20% en particules fines (PM 2,5) entraine une augmentation de 16% du taux de croissance de l’emploi.

La pollution atmosphérique est très élevée à Kinshasa

La ville de Kinshasa est fortement polluée. Il existe une pollution causée par des émissions provenant de la combustion du charbon dans les foyers, des automobiles et autres moyens de transport, des installations industrielles ou encore des poussières naturelles et des déchets ménagers. Une véritable bombe toxique. Il n’y a aucun mécanisme officiel de collecte, de tris et de recyclage des ordures ménagères. Les dépôts d’ordures à ciel ouvert sont courants dans tous les quartiers. La ville est très sale et jonchée d’immondices. Une étude réalisée durant six mois par le Think-Tank UNIKIN-UPN (Université de Kinshasa-Université pédagogique nationale) affirme que l’air respiré dans Kinshasa renferme des métaux lourds cancérigènes, des dioxines, dépassant largement les seuils de tolérance de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé).

Cette étude a été faite en se basant sur l’air ambiant au voisinage de la décharge sauvage à ciel ouvert de Binza-Delvaux. L’étude a été publiée le 7 septembre à l’occasion de la Journée internationale de l’air pur pour des ciels bleus. Selon les auteurs, chaque jour, il y a un ballet incessant de véhicules déchargeant des détritus sur le site. Il y a là des déchets ménagers, médicaux, industriels et textiles. Des individus y mettent régulièrement le feu pour libérer de l’espace et diminuer les odeurs nauséabondes qui s’en échappent. Cette fumée, alimentée notamment par les innombrables bouteilles en plastique, contribue à polluer l’air des environs. La population respire quotidiennement ces émanations gazeuses, s’exposant à toutes sortes de polluants nocifs et à des maladies. Les eaux souterraines sont aussi contaminées.

Gaston Mutamba Lukusa

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Readers Comments (4)

  1. Cher GML,
    J’ai eu la chance de lire ce rapport. Merci de l’avoir partagé. Le problème est sérieux mais malheureusement, chez nous, rien n’est vraiment pris sérieux.
    La pollution atmosphérique à Kinshasa, comme dans d’autres villes fortement polluées, entraîne des effets néfastes sur la santé humaine, notamment à cause des particules fines (PM10, PM2.5), du dioxyde de soufre (SO2), du dioxyde d’azote (NO2), du monoxyde de carbone (CO), et des composés organiques volatils. Ces polluants sont principalement issus de la combustion du charbon, des émissions des véhicules, des industries, ainsi que de la mauvaise gestion des déchets.
    Les principales maladies causées par cette pollution peuvent être :
    1. Maladies respiratoires :
    – Asthme : La pollution de l’air, en particulier les particules fines (PM2.5), peut aggraver l’asthme, en provoquant des crises plus fréquentes et plus graves.
    – Bronchite chronique : L’inhalation prolongée de polluants, notamment les particules fines, peut entraîner une inflammation chronique des bronches, causant une toux persistante et des difficultés respiratoires.
    – Maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC) : L’exposition prolongée à des niveaux élevés de pollution atmosphérique peut provoquer des dommages irréversibles aux poumons, réduisant la capacité respiratoire.
    – Infections respiratoires aiguës : Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement vulnérables aux infections respiratoires comme la pneumonie, souvent exacerbées par la pollution de l’air.
    2. Maladies cardiovasculaires :
    – Hypertension artérielle : L’exposition prolongée à la pollution de l’air peut endommager les vaisseaux sanguins et entraîner une augmentation de la pression artérielle, ce qui accroît le risque de maladies cardiovasculaires.
    – Crises cardiaques (infarctus du myocarde) : Les particules fines dans l’air peuvent pénétrer dans la circulation sanguine, provoquer des inflammations et augmenter le risque de formation de caillots, ce qui peut entraîner des crises cardiaques.
    – Accidents vasculaires cérébraux (AVC) : La pollution contribue à l’augmentation du risque d’AVC en affectant les vaisseaux sanguins et en favorisant la formation de caillots.
    3. Cancers :
    – Cancer du poumon : L’exposition aux particules fines et aux composés chimiques toxiques présents dans l’air (comme le benzène et les hydrocarbures aromatiques polycycliques) est un facteur de risque majeur de cancer du poumon.
    – Cancers du système respiratoire supérieur : Les polluants peuvent également affecter d’autres parties du système respiratoire, comme la gorge et le nez, et augmenter les risques de cancers dans ces zones.
    4. Effets sur la santé des enfants :
    – Développement pulmonaire réduit : Les enfants exposés à une forte pollution de l’air, en particulier pendant les premières années de vie, peuvent développer des poumons plus petits et moins fonctionnels, les rendant plus vulnérables aux maladies respiratoires.
    – Augmentation des maladies respiratoires aiguës : Les enfants sont plus susceptibles de souffrir de bronchiolites, de pneumonies et d’autres infections respiratoires, ce qui peut également compromettre leur développement à long terme.
    – Effets neurologiques : Il a été démontré que l’exposition à la pollution de l’air peut avoir des effets sur le développement du cerveau chez les enfants, entraînant des troubles de l’attention, des difficultés d’apprentissage, et même un risque accru de troubles du développement comme l’autisme.
    5. Problèmes liés à la reproduction et à la grossesse :
    – Naissances prématurées et faible poids à la naissance : Les femmes enceintes exposées à des niveaux élevés de pollution sont plus susceptibles de donner naissance à des bébés prématurés ou de faible poids, ce qui peut entraîner des complications de santé à long terme.
    – Augmentation du risque de malformations congénitales : Certains polluants, notamment les composés organiques volatils et les métaux lourds, peuvent affecter le développement du fœtus et provoquer des malformations.
    6. Maladies du système nerveux central :
    – Déclin cognitif : La pollution de l’air, en particulier les particules fines, peut aussi affecter les fonctions cognitives, augmentant le risque de démence et de maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer.
    – Troubles de l’humeur et de l’anxiété : Des études montrent que l’exposition chronique à la pollution peut contribuer à l’apparition de troubles de l’humeur, de l’anxiété et de la dépression.
    7. Effets à long terme sur la santé générale :
    – Réduction de l’espérance de vie : Vivre dans un environnement fortement pollué peut réduire l’espérance de vie en raison de l’accumulation de maladies chroniques, notamment les maladies cardiovasculaires et respiratoires.
    – Système immunitaire affaibli : L’exposition continue à des polluants dans l’air peut affaiblir le système immunitaire, rendant les personnes plus vulnérables aux infections.
    8. Irritations et allergies :
    – Irritations oculaires et cutanées : La pollution peut irriter les yeux, la peau et les muqueuses, entraînant des symptômes tels que des démangeaisons, des rougeurs et des larmoiements.
    – Rhinites allergiques : La pollution atmosphérique peut exacerber les allergies, notamment celles provoquées par les pollens, en augmentant leur concentration dans l’air ou en sensibilisant davantage les voies respiratoires.
    Il faut donc remercier le Think Tank UNIKIN UPN d’avoir mené cette étude exploratrice. Malheureusement, il est à craindre que nos autorités plus portées sur les détournements des millions que sur le bien-être du peuple s’en approprie et apporte des solutions ou des correctifs. Il devient donc urgent et essentiel de sensibiliser la population sur ces risques et d’encourager des mesures pour limiter leur exposition à la pollution. Même si les solutions ne viendront pas immédiatement des autorités, la mise en place de comportements protecteurs au quotidien peut faire une différence pour réduire les impacts de ces maladies.
    Par exemple :
    • Promouvoir l’utilisation de masques filtrants : Distribuez ou encouragez l’achat de masques de protection (caches-nez) pour limiter l’exposition aux particules fines dans l’air, surtout pendant les heures de forte pollution.
    • Encourager la plantation d’arbres : Proposez des initiatives de reforestation ou de plantation d’arbres dans les quartiers pour contribuer à améliorer la qualité de l’air.
    • Sensibilisation à la gestion des déchets : Informez les gens sur la nécessité de réduire leur propre production de déchets et l’importance du tri, même s’il n’existe pas encore de mécanismes officiels. Proposez des solutions de compostage domestique pour les déchets organiques.
    MIYIBI !
    TOLEMBI PASI !!
    FREE MIKE MUKEBYI !!!

  2. Combattant Résistant de l'Ombre 17 septembre 2024 @ 11 h 08 min

    LE JOUR LE PLUS TRISTE OÙ L’IMPOSTEUR RWANDAIS HIPPOLYTE KANAMBE ALIAS JOSEPH KABILA LE MENTOR DE FÉLIX ANTOINE TSHILOMBO A DONNÉ L’ORDRE DE COUPER TOUS LES ARBRES CENTENAIRES TOUT AU LONG DU BOULEVARD LUMUMBA, LA VILLE-PROVINCE KINSHASA JADIS LA BELLE EST DEVENUE UN CHAUDRON MORTIFÈRE ANTI-ÉCOLOGIQUE ET ANTI-ENVIRONNEMENTALISTE REMPLI DES CRASSES, POUBELLES ET IMMONDICES PRODUISANT LA MORT À SATIÉTÉ !
    Le Chef « Sioux Hunkpapa » nommé TATANKA YOTANKA plus connu sous le nom de SITTING BULL dit « Quand le dernier arbre aura été abattu. Quand la dernière rivière aura été empoisonnée. Quand le dernier poisson aura été péché. Alors on saura que l’argent ne se mange pas ». Le Cheval de Troie du Rwanda au KONGO-ZAÏRE a osé raser tous les arbres plantés par les Belges il y a des dizaines d’années pour agrandir le Boulevard Lumumba par ignorance ou par complicité avec les Chinois qui ne l’auraient jamais fait en Chine pour des raisons connues. Depuis ce jour-là, il y a une flopée de maladies respiratoires qui pullulent en RDC occupée et des morts imprévues qui s’ensuivent. Quand on rajoute le manque d’hygiène et de prévention légale contre des maladies d’insuffisance respiratoire (l’Asthme,
    la Mucoviscidose, la Bronchite, la Bronchopneumopathie chronique obstructive, la Pneumonie, l’Embolie pulmonaire, l’Emphysème…), les KINOIS devenus nombreux par explosion démographique, sans couverture médicale efficace meurent intempestivement et inopinément comme des mouches qui vivent éphémèrement durant 24 heures. En lieu et place de chercher les sorciers dans des familles restreintes, il va falloir pointer du doigt le SORCIER (LETA MOLOKI) qui est l’État failli RDCIEN coupable de tous ses maux écologiques et environnementaux. L’anti-écologisme (ou anti-environnementalisme) est une tendance libérale et mondialiste qui, sans avoir une volonté ferme de nuire à l’environnement, s’oppose aux multiples politiques prônant une réglementation environnementale stricte pour éviter la pollution de l’eau, de l’air et de l’environnement et la destruction des forêts, savanes fleuves, océans, mers, rivières, ruisseaux et lacs etc. C’est ainsi que la Tree-Nation avec comme objectif de 1 Billion d’arbres plantés d’ici 2050 a lancé ce SLOGAN ÉVOCATEUR qui dit « Plantez un arbre, sauvez une vie. Plus d’arbres, plus d’oxygène. Plantez un arbre aujourd’hui, pour un avenir meilleur. Les arbres sont la clé d’une planète en bonne santé ». Cette campagne contre le déboisement de la planète pour reboiser le monde (TERRE) est la seule et unique manière la plus simple pour les citoyens et les entreprises de planter des arbres dans le monde entier et de compenser leurs émissions de CO2 afin d’éviter l’éclosion des maladies d’insuffisance respiratoire qui frappent plusieurs personnes spécifiquement en RDC occupée… L’EXTERMINATION DU PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE SE FAIT SOUS PLUSIEURS FORMES. OUTRE LA GUERRE, LA FAMINE, LA RELIGIOSITÉ IMBÉCILISANTE OU CULCUTERIE BONDIEUSARDE, IL Y AUSSI LA DESTRUCTION DE LA NAATURE ET DES FORÊTS QUI EST UN FLÉAU QUI TOUCHE NOS RÉGIONS LES PLUS RECULÉES JUSQU’AUX CONFINS DE KINSHASA LA POUBELLE ! En Occident, la prise de conscience par la TRANSITION ÉCOLOGIQUE est en route et cette dernière d’ici 2030 deviendra l’unique source des revenus et le terreau fertile d’investissements financiers pour les Pays Occidentaux Industrialisés par la création d’emplois issus de l’INDUSTRIE VERTE. Le PACTE VERT (Union Européenne), l’IRA (INFLATION REDUCT ACT) aux USA et CHINE 2030 sont des grands projets pour la NEUTRALITÉ CARBONE implémentés pour remédier à la pollution àgrande échelle. Les comportements éco-responsables en Europe, Amérique et Eurasie prouvent que les autres peuples de la TERRE MÈRE ont pris des mesures idoines contre la pollution de l’air et de l’eau. En RDC occupée par contre, les images mortifères et Satano-occulto-nécromanciennes des millions de bouteilles en plastique abandonnées et non-recyclées qui inondent Kinshasa la Poubelle n’augurent rien de bon. Dans les provincettes médiévales, heureusement la propreté ambiante dans certains coins reculés est visible et la qualité de l’air est sûrement meilleure malgré l’insécurité permanente des biens et des personnes. QUE FAIRE ? Il ne faut surtout pas compter sur Tshilombo-Pétain et ses amis Politichiens VOLEURS et ESCROCS, il est urgent que chaque Kongolais fasse son examen de conscience pour définir sa ligne de conduite face au danger écologique en triant les déchets et en respectant l’environnement et la nature. Cette éducation claudicante sur la propreté de soi et des lieux publics peut être rectifiée dans le sein familial, à l’école et dans les médias. Sans quoi, notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE court un danger d’extinction des vies humaines soutenue d’ici 2030 à cause de ces fléaux écologiques qui polluent l’eau et l’air de génération à génération. « Si un arbre tombe dans une forêt et que personne n’est là pour l’entendre, fait-il un bruit ? » dixit George Berkeley. Quand FATSHI BIDON confondait REBOISEMENT et DÉBOISEMENT, les plus avertis des Kongolais savaient déjà que Félix Antoine Tshilombo n’avait aucune perception ni vision écologiques et environnementales pour notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE, après tout, que faudrait-il encore attendre ou esperer d’un président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE nommé par les Occupants Nilotiques Envahisseurs BANYARWANDAS ? Rien, Niets, Nada, Niente, Nothing, Hakuna Kitu, Libungutulu. « Le fanatisme aveugle est une forme d’esclavagisme mental, intellectuel, spirituel, physique et moral » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE INSTANTANÉ. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA

  3. Ce qui me gêne dans cet article, c’est cette espèce de systematisation qui consiste à noircir le tableau de façon délibérée avec une arrière pensée plus au moins suspecte. J’ai lu l’autre fois un commentaire selon lequel Kinshasa était la ville la polluée du
    monde. Ce genre d’affirmation n’est pas de nature à conscientiser objectivement les Congolais. Y a t-il une forte pollution au Congo et particulièrement à Kinshasa ? La réponse est mille fois oui, mais delà à faire croire que le Congo est le pays le plus pollué du monde, je dis non. Je me rappelle les images de Pékin mise en quarantaine pendant plus au moins un moins à cause de la pollution industrielle, Bombay, Karashi toutes ces immenses villes où la densité de la population est dix fois supérieure à celle de Kinshasa avec des inondation qui charrient des déchets qui sont abandonnés pendant des mois sans etre traités. Que dire du Pakistan ou de l’Inde où les troupeaux de vaches circulent et cohabitent avec la population avec tout ceque cela occasionne comme maladies. Il faut dénoncer cequi ne va pas sans tomber dans l’accès. il faut le faire evec constructif en enlevant les œillères. Il faut aussi éduquer cette population qui vit dans un système égoïste. Les Congolais préfèrent manger des poulets importés qui ont été gavés aux hormones dont le conditionnement laisse à Désiré. Et lorsqu’ils attrapent des maladies, c’est toujours la faute des autres. Le Congo bashing a des beaux jours.

  4. Lisez:  » plus au moins un mois »

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