Monsieur « Joseph Kabila », avec tous ses vrais noms, a causé des torts inimaginables d’extrêmes cruautés contre toutes les couches des composantes de la société congolaise et plus particulièrement contre celles qui sont sans défense. Dans son passage au Congo-Kinshasa comme personne avec armes automatiques, il [ce monsieur] a tué, il a commis des massacres et fait disparaitre des congolais chaque jour depuis sa venue sur le territoire Congo de 1996 jusques à ces jours; les massacres sur tout le Congo lesquels massacres viennent de trouver leurs pics avec les atrocités les plus insupportables au monde; et de rares barbaries féroces commises contre les populations civiles sans protection du Kasaï; et celles perpétrées contre les experts de l’ONU y envoyés.
Nous, citoyens de ce Congo et membres des sociétés civiles éparpillées sur toute l’étendue ce Grand Pays, nous étions en train de faire comprendre à ce bourreau et homme sans cœur que le pays ne lui appartient pas; et que tôt ou tard il finira par ne plus être là où il aura les armes pour toujours tuer les congolais sur son territoire; comme dans une salle des jeux de tuer. Le Grand Peuple Congolais avait la conviction que les tueries des congolais par ce sanguinaire et ses agents éparpillés sur tout le territoire national allaient prendre fin un jour; et que d’autres personnes responsables et non-idiotes vont s’engager devant Dieu et le Peuple pour ne pas décimer les Congolais sur leur Terre Sacrée.
Tous les paysannats, villages, cités et villes sont couverts par une couche de peur et d’odeurs de sang émises par ce régime de barbaries et cruautés qui font que tous les Congolais sont en train de se sentir comme étrangers dans leur propre pays suite aux actes fréquents de barbaries leur infligés par ce système de la mort installé à Kinshasa depuis 1997. Tout le Congo est, en effet, couvert par ces odeurs de la mort qui s’étendent sur tout le territoire; et surtout sur l’espace Kasaï et Kinshasa. C’est à dessein, pour faire fuir les Congolais de leur terre et pays. Peine perdue! Les Congolais sont là en train d’attendre l’arrivée d’autres dirigeants qui ne tuent pas, qui ne les jettent pas en prison. Ils [les Congolais] attendent des hommes et des femmes qui leur sont aimables au pouvoir.
Toutes les personnes, individus ou groupes d’individus (politiciens, leaders de sociétés,…), femmes et enfants qui ont osé s’opposer aux actes des barbaries et d’humiliations aux traitements humains des hommes du régime du sieur « Joseph Kabila » sont torturées, enlevées ou portées disparues par ces agents de ce régime en armes et uniformes. Ce régime de ce monsieur qui fait que le Congo-Kinshasa soit plus dangereux que la Syrie et le Yémen, les pays de l’insécurité globale.
Toujours, sous ce régime, le Congo-Kinshasa est devenu le pays où les femmes sont les plus violentées et les plus violées au monde. C’est partout au Congo. Les crimes contre les femmes se commettent nuit et jour par des agents du triste système présent au pays. Partout où passent les hommes [de « Joseph Kabila »] en uniformes, ils répandent peurs, craintes, viols et violences. Même à Na’Ehele [Nakihele] l’impact catastrophique de passage de ces éléments est visible.
Pendant que ce régime « Joseph Kabila « des atrocités inimaginables commettent ces actes ignobles contre les Congolais [voir rapport Mapping, ONU, de Navi Pelley, octobre 2010], ceux qui ont reçu l’appel (mission) de défendre la dignité humaine au Congo se sont vus persécutés, arrêtés et tués. Torturés; et beaucoup sont morts. Le Congo-Kinshasa est devenu le pays le plus dangereux au monde contre les défenseurs des droits humains. Sous ce régime, le Congo est devenu le pays le plus pauvre au monde; le pays le plus corrompu au monde.
Nous ne pensons pas qu’il faille donner à cet homme de la mort, des désastres et catastrophiques contre les populations congolaises une reconnaissance; surtout PAS un Prix Nobel pour avoir commandité et initié les atrocités et autres barbaries inimaginables contre le Congo et son Peuple. La Suède, la Norvège et les Etats-Unis, n’acceptez pas d’octroyer cette valeur la plus humaine et précieuse pour la Paix à cet ignoble individu, le cruel [« Joseph Kabila »]; sa place étant tout simplement en prison.
Je [Golden Misabiko] ne suis pas un homme de vengeance. Cependant, je refuse que celui [« Joseph Kabila »] qui avait décidé de me tuer, de m’anéantir et de détruire physiquement et moralement ma vie et celle de toute ma famille reste non puni.
Par Golden Misabiko
Défenseur International des Droits Humains
Leader de la Société Civile/Congo
Prix MEA 2006
Prix Nuclear-Free Future – Anti-Nucléaire
Lauréat pour l’environnement