Ce 25 octobre, le FMI (Fonds monétaire international) a publié un rapport intitulé « Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. Entre réformes et grandes espérances ». Suivant les services du FMI, les dirigeants africains sont confrontés à trois principaux obstacles alors qu’ils s’attellent à réduire des déséquilibres macroéconomiques. Premièrement, la croissance régionale projetée à 3,6% en 2024, est globalement faible et inégale, même si une modeste reprise est prévue en 2025. Parmi les freins à la croissance figurent les conflits, l’insécurité, les périodes de sécheresse, les pénuries d’électricité. Deuxièmement, les conditions de financement aussi bien intérieur qu’extérieur demeurent restrictives. Beaucoup de pays sont incapables d’accéder aux financements ou ne peuvent pas se le permettre. Troisièmement, les pressions complexes liées à une pauvreté élevée, à un manque d’inclusion et d’opportunités d’emploi ainsi qu’à la mauvaise gouvernance causent des difficultés considérables dans beaucoup de pays.
La croissance économique de la région demeure relativement faible
Les services du FMI prévoient un taux de croissance du PIB de l’Afrique subsaharienne de 3,6% en 2024 et de 4,2% l’année prochaine. Le taux de croissance de la région en 2024 est considéré comme étant faible. A noter que la croissance prévue de la RD Congo est de 4,7% en 2024 et de 5,0% en 2025 contre 8,4% en 2023 et 8,8% en 2022, soit en recul. Les 5 pays africains qui connaitront en 2024 une croissance économique soutenue sont le Botswana (6,5%), la Côte d’Ivoire (6,5%), l’Ethiopie (6,1%), Maurice (6,1%) et Rwanda (7,0%). Il n’y a paradoxalement aucun grand pays pétrolier parmi eux. La croissance économique régionale devrait modérément s’accélérer à 4,2% en 2025. Parmi les freins à la croissance figurent les conflits, l’insécurité, les périodes de sécheresse et les pénuries d’électricité. Les faiblesses structurelles du climat des affaires et de la gouvernance entravent les efforts de diversification économique. Parmi les autres facteurs qui freinent la croissance régionale figurent les conflits et l’insécurité (Sahel, RD Congo), l’impact de la sécheresse sur l’agriculture (Malawi, Zambie et Zimbabwe) et sur la production d’énergie hydroélectrique, des pénuries d’électricité plus généralisées (Guinée, Madagascar, Mali, République centrafricaine, RD Congo), et le resserrement macroéconomique. Les perspectives économiques peuvent s’améliorer après des réformes, mais les risques abondent. Les perspectives de la région sont assombries par le niveau d’incertitude élevé par suite de l’agitation sociale et des troubles politiques, du changement climatique et de la propagation des maladies comme la variole du singe (Mpox).
L’Afrique subsaharienne est aussi exposée aux risques de dégradation qui pèsent sur les perspectives économiques mondiales. Il s’agit de la volatilité des marchés financiers mondiaux, de l’intensification des conflits et de la volatilité des prix des produits de base, du ralentissement de l’activité économique dans les pays avancés et les grands pays émergents, en particulier la Chine, de la poursuite de la fragmentation géoéconomique. A titre d’exemple la RD Congo est très vulnérable aux chocs extérieurs comme près de 80% de ses exportations de cuivre et de cobalt sont dirigées vers la Chine. Le maintien des tendances récentes, à savoir l’affaiblissement de la coopération internationale, la montée du protectionnisme et, plus généralement, une politique économique marquée par un repli sur soi, pourrait perturber les échanges commerciaux.
La poursuite des réformes dans un contexte de pressions sociales
Les tensions sociales qui apparaissent dans plusieurs pays sont exacerbées par les augmentations rapides du coût de la vie et les effets à court terme des ajustements macroéconomiques. Il en résulte une grogne sociale et des pressions politiques qui compliquent la mise en œuvre des réformes. Les gouvernants doivent donc se livrer à un difficile exercice d’équilibriste. Il leur faut concilier deux choses difficiles, à savoir la stabilité économique et les pressions sociales. L’inflation reste à deux chiffres dans près d’un tiers des pays. Le taux d’inflation de la région est projeté à 18,1% en 2024 et à 12,3% en 2025. Les dirigeants ont resserré la politique monétaire pour freiner l’inflation. Ainsi, l’inflation est en baisse dans la plupart des pays de la région. Concernant la RD Congo, l’inflation est prévue à 17,8% en 2024 et à 9,2% en 2025. C’est encore élevé. A en croire le FMI, bien que difficiles, les réformes visant à assurer une croissance plus durable et plus inclusive, notamment en promouvant la diversification économique et en créant des débouchés, atténueront aussi bien les facteurs de vulnérabilité que la frustration sociale. Afin d’obtenir l’adhésion de la population, il est essentiel de protéger les personnes les plus vulnérables du coût des ajustements et de s’assurer que les réformes créent suffisamment d’emplois. Ce qui suppose une croissance économique inclusive, ce qui n’est pas souvent le cas.
Les services du FMI recommandent aux autorités de régler le dosage des politiques économiques pour rétablir et soutenir la stabilité macroéconomique. Le défi consiste à élaborer des politiques publiques en période de mécontentement social et de savoir comment mettre en œuvre ces réformes. Il est possible de mobiliser un soutien en faveur des réformes vastes et profondes en procédant à la réduction des inégalités et de la pauvreté, en instaurant un dialogue à grande échelle avec les populations et en favorisant une croissance inclusive. Les réformes doivent être conçues et échelonnées de manière appropriée. Pour renforcer la compétitivité et réduire les coûts de l’ajustement, la dépréciation du taux de change est souvent inévitable compte tenu du faible niveau des réserves de change. Celui-ci est de 4,1 mois d’importation de biens et services en 2024. Le niveau prévu en 2025 est de 4,2 mois alors qu’il faut des réserves d’au moins 6 mois pour qu’un pays soit à l’aise. En RD Congo, les réserves sont seulement de 2,0 mois en 2024 et de 2,2 mois en 2025. Devant une gestion budgétaire souvent peu orthodoxe, les autorités congolaises doivent opérer le choix entre consommer ces réserves et connaitre des pénuries de biens importés ou déprécier le taux de change et créer des poussées inflationnistes.
Gaston Mutamba Lukusa
Que dire devant un tel tableau !. Notre frère s’étonne de l’absence des pays pétroliers dans le classement de pays dont la croissance serait substantielle. Le contraire m’aurais étonné dans la mesure où en regardant de plus près, on se rend aisément compte que ces pays ont un endettement très élevé et que les ressources générées pays la vente du pétrole servent à payer la dette qui reste un lourd fardeau ( ex. du Congo Brazza et de l’Angola ). Concernant la croissance, elle est tirée par l’exportation de matières premières, essentiellement les minerais, donc, les pays africains sont exposés au choc exogène lié aux difficultés de certains pays consommateurs de ces minerais notamment la Chine dont la situation économique est souvent incertaine à cause du système étatique et surtout des mauvais choix dans le secteur de l’immobilier. Nous savons tous ou presque que le vrai moteur d’une bonne croissance c’est la consommation; mais hélas, faut il que cette consommation soit tirée par la production intérieure. D’où l’impératif de la diversification des économies africaines et la création de la chaîne de valeur par la transformation de nos matières. La Côte-d’Ivoire a relativement commencé transformer son cacao sur place, ce qui permet de création
des emplois induits et surtout de promouvoir un écho-système économique véritable createur des richesses. Bien sûr qu’il faut des réformes dans certains secteurs clés comme dans la fiscalité et dans les choix de priorités. Le manque de l’énergie électrique est un handicap sérieux qui constitue un frein pour attirer les investisseurs dans les secteurs de l’industrie. Pour cequi est du Congo, je suis raisonnablement optimiste: le développement de la zone industrielle de Maluku qui aura son extension au Katanga
est un bon signal. Je signale que notre pays vient d’exporter son premier cargaison de géranium , ceci démontre qu’il y a une volonté politique. La problématique de l’accès au flux financier international dépend des choix et la capacité à cerner les besoins réels dans les secteurs qui sont susceptible de créer des opportunités d’investissement productif, pas pour payer les salaires ou enrichir une catégorie des privilégiés.
Chaque année, les néo-coloniaux du FMI nous pondent un rapport qui, en général, revient toujours sur les mêmes maux et hélas, sans proposer de vraies solutions concrètes et adaptables à des situations particulières en Afrique. En fait, il s’agit toujours de la même chanson. Seule la gamme de clé change. Cette fois-ci, on est en mode de Fa majeur : « Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne : Entre réformes et … grandes espérances ». Grandes espérances ?Vraiment ?
Le rapport attribue les faibles taux de croissance projetés à des obstacles tels que les conflits, l’insécurité, la sécheresse et les pénuries d’électricité. Bien que ces facteurs soient effectivement déterminants, le rapport n’aborde pas plus en profondeur les racines structurelles et historiques de ces maux, notamment l’héritage colonial, la dépendance aux matières premières, et la faible diversification des économies. Cette approche superficielle risque de limiter la compréhension des problèmes, et donc l’efficacité des solutions proposées par les institutions internationales.
Le FMI note que les conditions de financement, tant internes qu’externes, sont restrictives, empêchant de nombreux pays d’accéder aux ressources nécessaires pour investir dans le développement. Cependant, le rapport ne fournit pas de pistes concrètes pour améliorer ces conditions. La question de l’accès au financement est centrale, surtout pour la RDC, un pays riche en ressources naturelles, mais souvent contraint de recourir à des financements extérieurs onéreux qui exacerbent son endettement. La recommandation implicite des amis de Nicolas Kazadi semble être de continuer à dépendre de financements externes (sources inépuisables de détournements, Frappa) sans réelle stratégie de renforcement des mécanismes internes de mobilisation des ressources.
Les défis de pauvreté, d’inclusion et de gouvernance sont abordés de manière plutôt générique. En RDC, par exemple, la pauvreté reste endémique, avec des services publics défaillants et une gouvernance fragilisée par des décennies de conflits et d’instabilité et aussi d’un personnel politique parmi les plus médiocres au Monde. Ces problématiques nécessitent des réponses qui dépassent la simple amélioration de la gouvernance : il s’agit de repenser le modèle de développement, en tenant compte de la capacité limitée de l’État et de l’importance de construire un secteur privé dynamique et inclusif. En omettant de reconnaître le caractère spécifique de certains pays, le FMI laisse entendre que des réformes standardisées suffiraient à résoudre des situations d’une complexité bien plus profonde.
Pour répondre aux défis spécifiques de notre putain de pays, plusieurs mesures devraient être envisagées, en complément des recommandations traditionnelles et néo-colonialistes du FMI.
1. Tout le monde sait que la RDC dépend fortement de ses ressources naturelles, en particulier des minerais. Une stratégie de diversification, notamment dans l’agriculture et les services, pourrait réduire cette dépendance et améliorer la résilience de l’économie face aux chocs externes. Cela passe par des investissements dans l’infrastructure de transport, essentielle pour relier les zones rurales aux marchés et réduire les coûts logistiques. Pourquoi nos dirigeants, ventrus, fessus, obèses, ne le font-ils pas ? Sont-ils bêtes à ce point ?
2. Pour diminuer la dépendance aux financements externes et ainsi décourager les voleurs formés à l’ENA de Paris et à ICC de Bruxelles, la RDC doit améliorer sa capacité à générer des ressources internes. Cela inclut une réforme de l’administration fiscale pour élargir la base de contribuables, notamment en intégrant le secteur informel dans l’économie formelle. La lutte contre la corruption et l’amélioration de la transparence dans la gestion des ressources publiques sont également des prérequis pour augmenter la confiance des citoyens et encourager leur contribution fiscale.
3. La RDC présente une démographie dynamique, avec une majorité de jeunes. Toutefois, ce potentiel démographique est sous-exploité en raison d’un manque de formation adéquate et d’opportunités d’emploi. Il est essentiel d’investir dans l’éducation, la formation professionnelle et les programmes de soutien à l’entrepreneuriat pour créer des emplois et renforcer le secteur privé. Cela peut inclure des partenariats public-privé pour développer des programmes de formation ciblant les secteurs porteurs comme l’agriculture durable, les énergies renouvelables et les technologies de l’information.
4. La gouvernance reste un obstacle majeur au développement en RDC. Les détournements, la corruption, en particulier, freinent l’efficacité des politiques publiques et décourage les investisseurs. Des mesures fermes pour lutter contre ces fléaux, telles que l’adoption de lois plus strictes, la mise en place d’institutions indépendantes de lutte contre les détournements et la corruption et la promotion de la transparence dans la gestion des ressources naturelles, sont essentielles pour restaurer la confiance et encourager les investissements.
5. La RDC souffre de pénuries d’électricité qui freinent l’activité économique et l’industrialisation. Le pays dispose pourtant de ressources hydroélectriques considérables qui, si elles étaient mieux exploitées, pourraient répondre aux besoins domestiques et même alimenter d’autres pays de la région. Des partenariats avec des investisseurs étrangers ou des institutions de développement pourraient permettre de financer des projets dans le secteur énergétique, tout en assurant une meilleure couverture et en réduisant la dépendance aux importations de pétrole.
6. La RDC peut aussi bénéficier de partenariats régionaux pour renforcer sa résilience économique. Par exemple, l’intégration dans des initiatives de libre-échange au niveau régional pourrait favoriser la diversification des exportations et créer des marchés plus larges pour les produits congolais. En renforçant les liens économiques avec ses voisins, la RDC pourrait également réduire les risques liés aux conflits et améliorer la sécurité régionale, ce qui favoriserait un climat propice aux affaires.
A mon avis, pour commencer à construire un semblant d’espérance, il faut commencer par fouetter et pendre en public tous les voleurs et les voyous qui détournent les fonds publics.
MIYIBI !
FREE MIKE MUKEBAYI & PATRICK LOKALA
Cher GML,
Le contraste entre le succes de la Cote d’Ivoire (avec son PR meritocrate) et la RDC (avec son PR roublard ex-Matonge) illustre les causes surtout endogenes du sous-developpment en Afrique Sub-Saharienne et en RDC en particulier 60 ans apres l’independance en cascades de ces pays Africains.
Encore une fois, permettez-moi de reprendre ci-desous mes commentaires anterieurs et qui vont certainement vexer les parasites Tshilejelu-istes et leur roublard chef de file.
Pourquoi la RDC tarde-t-elle a decoller? Les Prix Nobel en Economie « a la une » recemment y apportent une reponse:
Absence de (vraie) democratie et manque de confiance dans les institutions etatiques (et en ses animateurs). En RDC, toutes les institutions sont sous les bottes de la Mafia UDPS-USN et son gros chef jouisseur-au-sommet, avec comme corollaires la mal-gouvernance, corruptions, detournements et impunite. Citons-en un example parmi plusieurs: Selon des sources credibles dont le quotidien en ligne Scoop-RDC, vers la fin de son mandat a la Primature, Sama Lukonde et Nico Kazadi (oui, tjrs le meme) et un des frangins de Felix s’arrangerent pour se partager des $$Millions du Tresor qui restaient sans allocation finale, inclu $8 Million pour une etude (-bidon) pour la pretendue nouvelle ville Kin-Kitoko. Et comme recompense pour son incompetence et detournements, Sama Lukonde est au perchoir du Senat, tout comme l’autre voleur Kamerhe au perchoir de l’AN. Quant au grand brigand-financier Nico Kazadi, lui se la coule douce avec son gros mentor Felix Tshilejelu (et les frangins de Felix). A part de speculateurs, pilleurs-aventuriers, quels investisseurs (serieux) risqueraient de capitaux dans un tel pays? Est-il etonnant avec ces brigands au sommet que le Social soit le moindre de leurs soucis? La tres faineante Judith Swimwina s’inscrit droit dans les traces de Sama Lukonde.
Cerise sur gateau, ces roublards, jouisseurs faineants et incompetents au sommet oublient leur nationalite etrangere (dont Belge) et osent proposer aujourd’hui comme « solution magique » le changement de la Constitution (pretendue « des etrangers »), cela dans le seul but de s’eterniser au sommet en moquerie totale de la misere de leur « peuple d’abord »!
En bref, comme l’illustre bien la triste histoire de la RDC 64 ans apres son independance, son sous-developpement est surtout l’oeuvre de ses regimes successifs de predation, le pire de ces regimes etant la voyoucratie Tshilejelu-UDPS.
THE WINNER IS DONALD TRUMP ! UN PAYS OCCUPÉ COMME LA RDC VERSUS EMPIRE HIMA NE PEUT JAMAIS ÊTRE DÉMOCRATIQUE AVEC UN RÉEL ÉTAT DE DROIT. L’AVENIR DE NOTRE GRAND ET BEAU PAYS KONGO-ZAIRE SERA MEILLEUR SANS LES DÉMOCRATES [CLINTONS, OBAMA, BIDEN & HARRIS] AMÉRICAINS AU POUVOIR À LA MAISON BLANCHE QUI SOUTIENNENT L’EMPIRE HIMA. LE MONDE SERA NETTOYÉ DES GUERRES ET DES ABOMINATIONS WOKES, PÉDOPHILES, SODOMITES ET GOMORHÉENNES. LES MORTS ET LES VIOLS CESSERONT DANS LES GRANDS LACS AFRICAINS ! Certes la politique internationale de l’Administration Ricaine soit-elle Républicaine ou Démocrate ne change pas, le seul espoir de 100 millions de Kongolais du Bled et de la Diaspora est que la victoire de TRUMP en 2016 a permis aux Vrais Kongolais de chasser presque KANAMBE de notre TERRE SACRÉE KONGO DIA NTOTILA, celle de 2024 permettra à la Résistance Combattante Kongolaise de chasser définitivement TSHILOMBO [et ses amis Politichiens Collabos] et ses PARRAINS NILOTIQUES ENVAHISSEURS OCCUPANTS BANYARWANDAS (Hippolyte Kanambe, Paul Kagame et Yoweri Museveni)… AUCUNE PERSONNE SÉRIEUSE ET CONSCIENTE AIMERAIT ÊTRE A LA PLACE DES ACTUELS POLITICHIENS COLLABOS RDCIENS QUI SONT DES ÊTRES SANS ÂME (CORPS ET ESPRIT) QUI NE SONT PAS HUMAINS ! En 1956 plus précisément le 18 Novembre, Nikita Kourtchev, dictateur russe déclara ceci « Nous prendrons l’Amérique sans tirer un coup de feu. Nous n’avons pas besoin d’envahir les États-Unis. Nous vous detruirons de l’intérieur ». Notre TERRE SACRÉE KONGO DIA NTOTILA est détruite de l’interieur avec la complicité d’une classe politique inexpérimentée, bête, conne et cupide. Le pays avec eux (POLITICHIENS COLLABOS RDCIENS) est devenu un immense bordel à ciel ouvert sous les flammes du satanisme démoniaque afin que les psychopathes de l’Empire Hima (Kagame, Museveni et Kanambe) et les Impérialistes mondialistes de tous poils et leurs multinationales occidentales prédatrices et mercantilistes continuent de détruire à la perfection le pays mais aussi tous les autres pays environnants des Grands-Lacs Africains qui se trouvent dans le K.O total car leur Grand voisin, jadis gâchette du revolver AFRIQUE dixit Frantz FANON est à genoux avec leur aide néocolonialiste. Ils (Politichiens Voleurs Escrocs soi-disant parangons de la démocratie) ont transformé Kinshasa la Poubelle et ses provincettes médiévales en un showroom pour la marque Desigual, Binkembergs et Dolce & Gabana réservées aux putes LGTBQIA+.
Ils (Ennemis extérieurs et intérieurs du KONGO-ZAÏRE) ont changé le Palais du PEUPLE en un temple maçonnique ultra occultiste comme autel de sorcellerie.
Ils (Tshilombo et les siens) ont fait de la RDC occupée un vaste champ des ruines où l’insécurité permanente des biens et des personnes a atteint des chiffres alarmants.
Ils (Politichiens RDCIENS bêtes et nuls) prévoient de transformer l’Hôtel de la Monnaie en un musée woke versus SODOME ET GOMORRHE. Même ATTILA dans ses pires moments de folie n’a pas atteint un tel niveau de délire ségrégationniste et de destruction totale d’un PEUPLE. Les Politichiens Collabos RDCIENS ont la caractéristique des gens avec un sale ego surdimenrionné, sans empathie, sans scrupules comme
un vrai banquier quoi. Avec Tshilombo-Pétain et ses amis Politichiens aux commandes de la politique d’accompagnement de l’Occupation étrangère Rwando-Ougandaise, nos enfants à tous même nés dans la Diaspora sont en grand danger car le pays est déjà vendu avec pertes et fracas pour leurs intérêts personnels égoïstes. Félix Antoine Tshilombo est le Mozart de la DECONSCTRUCTION de notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE car il ose même visiter les pays agresseurs sans état d’âme et reçoivent les envoyés spéciaux de Paul Kagame et Yoweri Museveni à Kinshasa la Poubelle. Le couple KANAMBE-TSHILOMBO est celui de l’indécence, de la vulgarité et de la perversion multifonctionnelles, ce sont des individus idiots et niais, des êtres nuisibles pour notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE. Hippolyte alias Joseph et Félix Antoine sont des personnages falots et Satano-occulto-nécromanciens très perturbés psychologiquement et mentalement. Mais le pouvoir illimité qu’on leur a donné par la Classe Politique collaborationniste toutes tendances confondues permet de masquer leur état mental desastreux et décadent avec la complicité de la presse locale soumise à l’Empire Hima (EAC), des mediamensonges mainstream à la solde de la CABALE JUIVO-KHAZARE et de la Communauté IMPÉRIALISTE dite Internationale complètement ENJUIVÉE et SIONISTE. Nos Politichiens portraiturés comme des fientes sèches sur une pelle en bois à l’intelligence d’un cendrier vide sont tous des êtres qui n’ont pas d’âme et ne sont pas humains. La majorité sont des petits parvenus pas très intelligents, des écervelés bras cassés pieds nickelés qui ont envoûté et ensorcelé le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE sinon ils ne tiendront pas une semaine à Kinshasa la Poubelle… POURQUOI L’AFRIQUE NOIRE SUBSAHARIENNE EST BALLOTTÉE ENTRE UN INFINITÉSIMAL PROGRÈS ET DES ÉNORMES VULNÉRABILITÉS MACRO-ÉCONOMIQUES PERSISTANTES ! Prenons l’exemple de la RDC occupée, ce qui s’y passe n’est plus rigolo du point économico-financière, c’est le pays des droits des autres pays qui s’enrichissent impunément c’est-à-dire de façon simple le pays des droits de l’autre, on trouve l’argent pour tout le monde sauf pour les Vrais Kongolais. C’est TRISTE et MÉCHANT. « Le fanatisme aveugle est une forme d’esclavagisme mental, intellectuel, spirituel, physique et moral » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE INSTANTANÉ. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA