1. Pourquoi la RD Congo patauge et recule?
La RD Congo patauge parce que depuis son indépendance, il y a de cela plus de 60 ans, aucun gouvernement de ce pays n’a mis sur pied des actions coordonnées autour d’une vision claire de développement. Le constat malheureux est celui de chaque président qui arrive au pouvoir en RD Congo, fait la table rase, tâtonne, fait faire des actions par-ci par-là, en vrac, avec un entourage composé des gens qui sont là pour leur enrichissement personnel et ne font que flatter le Président sans jamais lui dire la vérité. Mais un pays ne se développe pas avec des actions chaotiques souvent contradictoires, avec des dépenses onéreuses, et des flatteurs insouciants-malhonnêtes et cupides. Clairement, la RD Congo patauge parce que les populations congolaises et les dirigeants congolais refusent consciemment ou inconsciemment de confronter, avec sincérité, bravoure et courage le fait que c’est le Congolais qui est la première cause et victime du sous-développement de la RD Congo. Ainsi, la RD Congo continue à patauger, à reculer et s’enfoncer davantage dans une paupérisation humaine jamais vue dans l’histoire moderne de l’humanité.
2. Que faut-il faire?
Le chemin ici présenté est une trajectoire jalonnée des activités transformatrices basées sur un simple principe et une vision claire et concise de renaissance nationale. Ce chemin est comme une tapie rouge préparée pour celui ou celle qui sera élu Président de la RD Congo aux élections de décembre 2023. Prendre ce chemin après les élections de décembre 2023 sera une rupture radicale avec le passé médiocre de la RD Congo, une ligne de démarcation pour poser une fondation solide et inébranlable, sur laquelle les populations congolaises des villages, villes et cités bâtiront un Congo nouveau pour y vivre financièrement autonomes et dans la dignité.
Le principe c’est l’urgence – par analogie à l’urgence médicale. Lorsqu’une ambulance transporte un malade pour une urgence médicale, tout est écarté du chemin pour donner priorité à l’ambulance afin d’atteindre rapidement l’hôpital pour des soins intensifs. Analogiquement, les populations congolaises sont dans une extrême misère (insécurité, massacres et tueries, pauvreté, etc.), et dans l’agonie. Par conséquent, le gouvernement issu des élections de décembre 2023 est et doit être dans l’urgence d’administrer des soins intensifs pour le salut de la nation et de ses populations agonisantes de famine, de pauvreté, et des tragédies de toutes sortes. Le gouvernement congolais de 2024 doit filer à toute vitesse comme une ambulance, écarter toute autre chose du chemin, pas d’hésitation, pas de tâtonnement, pas des négociations et discussions inutiles, pour aller droit aux actions concrètes pour le salut national. Mais quelles sont ces actions?
3. Actions à résultat immédiat
Ces actions vont donner des résultats immédiats en termes de guérison nationale, c’est-à-dire soulagement des populations et résolutions des grands problèmes qui ruinent la RD Congo.
3.1. Ordonnance-loi supprimant péages routiers et taxes arbitraires
Au lendemain de l’inauguration du nouveau Président/de la nouvelle Présidente, promulguer un décret ou une ordonnance-loi supprimant toutes les taxes et péages routiers arbitraires sur toute l’étendue de la RD Congo, à prendre effet immédiatement. Le décret ou l’ordonnance-loi présentera les modalités explicites des taxes considérées compatibles avec le programme d’urgence nationale pour la remise immédiate du pays sur le chemin de développement rapide. Par exemple: s’il y a des péages routiers, ces routes sont et doivent être explicitement énumérées dans l’ordonnance. Les taxes sur des compagnies ou activités économiques doivent être explicitement énumérées et décrites, ainsi que leur mode de paiement. L’ordonnance/le décret peut faire un pas supplémentaire en expliquant comment les revenus de ces taxes seront utilisés. Le résultat anticipé d’un tel décret sera un soulagement, un enthousiasme et une joie des populations sur toute l’étendue du pays. Les populations seront motivées à se lancer dans la création des unités de productions, activités qu’elles avaient abandonnées à cause des tracasseries et des taxes arbitraires.
3.2. Contracter une firme privée expérimentée pour la « Justice économique »
Au lendemain de l’inauguration, contracter une firme expérimentée en matière de comptabilité et finance pour exécuter le programme de « justice économique » en RD Congo, afin de récupérer des sommes d’argent du peuple congolais illégalement accumulées par les anciens dignitaires du pays. Ce programme doit être exécuté rapidement, gentiment et dignement; car, il n’y a pas de réconciliation sans justice. Comment s’y prendre concrètement et correctement? C’est comme ceci: la firme établit son système de fonctionnement de façon transparente; tous les dignitaires des régimes passés depuis l’indépendance de la RD Congo qui sont vivants, ou leurs membres de familles qui sont des héritiers, doivent sans exception comparaître devant la firme pour déclarer honnêtement leurs richesses (argent et immobiliers) tant en RD Congo qu’en dehors de la RD Congo. Chaque dignitaire suivra la procédure établie par la firme pour négocier de bonne foi ce qu’il/elle doit rembourser au peuple congolais et ce qu’il/elle peut garder. Chaque dignitaire qui complète le processus honnêtement sera honoré pour sa bravoure et son courage de se placer du bon côté de l’histoire. Les dignitaires qui refuseront de coopérer seront immédiatement traduits en justice, jugés, et condamnés pour leur durcissement du cœur et refus de se placer du bon côté de l’histoire. Le document légal établissant l’autorité et la mission de la firme pour « justice économique », ainsi que la description de comment l’argent récupéré sera utilisé, ce document sera rendu public.
3.3. Contracter une compagnie militaire privée pour redynamiser et renforcer les FARDC
Immédiatement après l’inauguration du nouveau Président ou de la nouvelle Présidente, le pays va contracter une compagnie militaire privée expérimentée (européenne, américaine, canadienne, australienne, russe, chinoise, etc.) pour un travail intensif de courte durée, afin de redynamiser et renforcer les 150 milles soldats des FARDC qui sont actuellement négligés et devenus dysfonctionnels et inefficaces. Après une formation rapide et un entraînement intensif accéléré, 100 milles soldats des FARDC seront rangés aux frontières à l’Est de la RD Congo pour créer un mur militaire afin de libérer les forces de l’EAC et de la MONUSCO. La compagnie va former intensément et rapidement 50 à 100 milles nouveaux recrus, pour faire un total de 200 à 250 milles soldats disciplinés et efficaces des FARDC. Pour long terme, des dispositions seront prises pour la formation continuelle des FARDC. Nul doute que les FARDC deviendront rapidement l’élite militaire en Afrique et se classeront très vite parmi les meilleurs du monde. Les FARDC seront formés en compétences militaires et en génies de toutes sortes pour des interventions en cas des catastrophes naturelles en RD Congo, en Afrique et dans le monde. Quelle fierté pour la RD Congo!
3.4. Retraiter honorablement tous les commandants militaires de haut rang
Il s’agira de mettre à la retraite avec honneur et pensions assurées tous les commandants des forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), allant des capitaines jusqu’aux généraux, sans exception, et décréter des célébrations pour les honorer sur toute l’étendue de la république pour les services qu’ils ont rendus à la nation. Il y aura déjà eu la compagnie militaire privée contractée pour former, réformer et renforcer très rapidement 200 à 250 mille soldats congolais, avec un mur militaire établi à l’Est pour assurer la paix de deux côtés, et personne n’accusera plus personne pour avoir laissé des rebelles traverser d’un côté à l’autre.
Les commandants retraités seront régulièrement invités pour donner des conférences et des cours de formation aux FARDC pour ainsi transmettre aux nouvelles générations les arts et techniques militaires qu’ils ont développés pendant des années de service pour le pays.
3.5. Lancer des grands travaux publics à main-d’œuvre intensive
Avec la sécurité totale assurée à l’Est et au Nord du pays par le mur militaire, l’attention du nouveau gouvernement se tourne et doit se tourner totalement au lancement des travaux de réhabilitation des routes et chemins de fer, des aéroports et ports, des bâtiments administratifs, des bâtiments des hôpitaux et cliniques, des bâtiments des écoles et universités publiques sur toute l’étendue de la république. Des milliers d’ ingénieurs et techniciens congolais, des millions des jeunes, femmes et hommes seront recrutés sur toute l’étendue du pays pour faire ces travaux de réhabilitation dans leurs provinces et territoires respectifs. Ça sera un programme massif de réfection de toutes les infrastructures délabrées du pays pour faciliter la libre et rapide circulation des biens et des personnes à travers le pays.
Tous ces projets de réhabilitations seront coordonnés non pas à la présidence de la République, mais coordonnés de façon transparente par des entités décentralisées aux niveaux des territoires, avec mécanismes rigoureux de contrôle et vérification. Les réalisations, progrès et difficultés seront publiées chaque deux semaines aux niveaux territoriaux, provinciaux et national, pour que les erreurs soient immédiatement rectifiées, les détourneurs et les corrompus et corrupteurs soient immédiatement traduits en justice, condamnés et sévèrement punis, sans exclure la peine capitale pour des cas graves.
3.6. Réhabiliter le barrage d’Inga et les barrages hydroélectriques de la RD Congo
Le barrage d’Inga, phases I et II étaient devenues opérationnelles en 1972 et 1982 respectivement. Les deux phases avaient la capacité d’alimenter toute l’Afrique centrale (la RD Congo et ses neuf pays limitrophes) en énergie et courant électrique. Mais aujourd’hui, Inga I et II n’alimentent même pas tout Kinshasa de façon continue, à cause de manque d’entretien due aux corruptions et incompétences qui ont fait que des pièces et des mécanismes de production d’énergie sont tombés et demeurent en panne, et même les câbles de haute tension pour transporter d’énergie produite à Inga I et II sont en état de délabrement, ce qui cause souvent des accidents mortels. En plus, il y a des nombreuses petites centrales hydroélectriques construites en RD Congo qui sont aussi en panne, fonctionnent partiellement ou pas du tout.
Juste réfectionner et réhabiliter Inga I et II pour produire d’énergie à leurs capacités maximales va permettre qu’il y ait du courant électrique dans tous les villages, quartiers, villes et cités de la RD Congo. Ajouter à Inga I et II les autres centrales hydroélectriques réfectionnées, elles seront capables de produire d’électricité à distribuer sur toute l’étendue de la république, et pour vendre aux pays voisins. Avec les revenus qui viendront de la vente du courant électrique aux pays voisins, le nouveau gouvernement doit initier le Corps des Electriciens congolais, une compagnie nationale pour former et enregistrer des compétences congolaises pour l’entretien continuel des sources d’énergie et veiller à la permanence du courant électrique partout dans le pays.
Avec la permanence d’électricité sur toute l’étendue de la république, la révolution industrielle et manufacturière sera possible partout et dans tous les coins du pays. En conséquence, avec sécurité établie sur toute l’étendue de la république, et l’électricité assurée en permanence, le gouvernement en 2024 sera à mesure de coopérer avec des grandes compagnies internationales pour lancer le développement des bus, trains et véhicules électriques pour éliminer l’usage de carburant et devenir champion et modèle écologique pour monde entier; car jusque-là, l’écologie en RD Congo est uniquement discutée en termes de forêt équatoriale qui n’est autre chose que compter sur les ressources naturelles et matières premières au lieu de compter sur et avec matière grise. Le gouvernement en RD Congo sera aussi en position de force pour inviter les compagnies minières qui œuvrent dans le pays, négocier avec elles, afin qu’elles puissent transformer les minerais en produits semi-finis et finis en RD Congo, en leur décrivant les avantages et bénéfices énormes qu’elles vont avoir.
3.7. Éliminer la faim en RD Congo en trois mois
Il s’agit d’implanter dans les 26 provinces du pays 26 projets pilotes pour LOCALEMENT produire de farine de maniocs, de farine de maïs, produire du riz, entretenir une culture maraîchère, faire l’élevage des volailles, des chèvres et des cochons. Un doute qui peut venir en tête serait à partir de la triste expérience du projet agricole de Bukanga Lonzo où des millions de dollars furent décaissés par le gouvernement congolais pour ce projet agricole; et ces millions de dollars disparurent par gaspillage, détournement et vol, sans que le projet soit réalisé. L’expérience de Bukanga Lonzo ne doit pas être ignoré; il doit être en effet rappelé et servir de leçon pour mieux faire. Contrairement au projet Bukanga Lonzo, les projets pilotes pour éliminer la faim en RD Congo en trois mois sont plutôt locaux, avec les moyens et personnels locaux, et contrôlés localement. C’est pourquoi LOCALEMENT est écrit en majuscule dans la première phrase de ce paragraphe. Cela veut dire, concrètement, que dans chaque province, consacrer 50 (cinquante) hectares (ha) pour manioc, 50 ha pour maïs, 50 ha pour riz, et 50 ha pour culture maraîchère. A cela il faudrait ajouter 50 ha pour l’élevage des volailles, chèvres, cochons, et 50 ha pour la pisciculture des tilapias et des poissons chats. C’est un total de 300 ha de terrain. Tous les travaux se feront avec les moyens locaux comme houes, bêches, haches, machettes, pioches, arrosoirs, brouettes, etc. On n’a donc pas besoin des tracteurs motorisés ou de carburant pour tous ces travaux.
Maintenant, mettons entre parenthèse un nombre estimé d’employés à engager à temps plein pour s’occuper de ces activités économiques: plantation de manioc (5), plantation de maïs (5), plantation de riz (5), plantation de culture maraîchère (5), centre de production de ces farines moyennant deux ou trois moulins et une décortiqueuse de riz, tous alimentés par des panneaux solaires (5), une concession d’élevage des volailles, des chèvres, cochons (5), et une concession de pisciculture des tilapias et des poissons chats (5).
Le nombre total des personnes locales qui seront employées dans chaque projet pilote est de 35 personnes. Multipliez 35 par 26 provinces égale 910 personnes. Admettons que ces personnes locales doivent recevoir un salaire mensuel régulier de $150 (cent cinquante dollars) par personne. Pour travailler pendant un mois, le montant total de paiement pour ces 910 personnes sera $136500 (cent trente-six mille cinq cent dollars). Pour travailler pendant douze mois (une année), le montant total de paiement de ces 910 employés s’élèvera à $136.500 multipliés par douze, égale $1.638.000 (un million six cent trente-huit mille dollars). Ajouter à cela $500.000 (cinq cent mille dollars) pour achat d’outillage de travail et imprévus, le montant total s’élèvera à $2.138.000 (deux million cent trente-huit mille dollars).
Résumons-nous: pour un montant de $2.138.000 (deux million cent trente-huit mille dollars), 910 (neuf cent dix) employés régulièrement payés et outillés dans 26 province en RD Congo vont travailler chaque jour, pendant une année, dans plantation de manioc, plantation de maïs, plantation de riz, plantation de culture maraîchère, centre de production des farines moyennant deux ou trois moulins et une décortiqueuse de riz, tous alimentés par des panneaux solaires, une concession d’élevage des volailles, des chèvres, cochons, et une concession de pisciculture des tilapias et des poissons chats.
Résultat escompté: trois mois suffisent pour récolter des maïs jaunes, trois mois pour récolter le riz, six mois ou plus ou moins pour le manioc, les cultures maraichères varient entre un mois et trois mois. Les résultats escomptés pour l’élevage et la pisciculture sont très satisfaisants. Donc pendant la première année de ces activités économiques, les productions en RD Congo des denrées alimentaires, de poissons et de viandes vont augmenter de façon extraordinaire, tout cela juste avec un fond national de $2.138.000 (deux million cent trente-huit mille dollars). Mais, ce qui est plus important, c’est que les techniques développées et déployées dans ces activités seront raffinées et les leçons apprises seront vulgarisées sur toute l’étendue du pays pour être utilisées par les populations congolaises. Ainsi, après deux ou trois ans, la RD Congo passera de l’état de pays de déficit alimentaire à l’état de pays d’excédents alimentaires.
3.8. Faire usage des moyens locaux et compétences locales
Il n’y aura pas de course pour solliciter des prêts du Fond Monétaire International ou de la Banque Mondiale. La DR Congo a suffisamment d’argent d’exportation des minerais et des ressources naturelles pour financer ses activités d’urgence nationale. A cela il faut ajouter les recettes qui viendront de la « Justice économique ». Il faut aussi y ajouter la réforme immédiate des salaires des dirigeants congolais. Le gouvernement sera non-éléphantesque et non-budgétivore, pas plus de dix ministres. Le salaire du président des Etats-Unis d’Amérique, la superpuissance économique du monde, est de $400.000 (quatre cent mille dollars) par an. Le président congolais qui préside sur un pays sous-développé dont les populations vivent misérablement avec environ un dollar par jour, doit et devrait gagner un quart du salaire annuel du président américain ou même moins. Le salaire du secrétaire d’Etat Américain (équivalent du ministre des affaires étrangères en RD Congo) est de $221.400 (deux cent vingt-un mille quatre cent dollars) par an. Le salaire d’un ministre congolais doit et devrait être un quart de son homologue américain ou même moins. Un président congolais ou un ministre congolais ne peut pas et ne doit pas vivre l’Amérique en DR Congo, pendant que les populations congolaises vivent dans la misère. Non, c’est inacceptable. Avec le principe et la vision d’urgence nationale, les dirigeants congolais doivent être payés et vivre comme leurs compatriotes. Quant aux parlementaires qui sont des représentants du peuple, ils doivent vivre parmi leurs populations, habiter dans leurs territoires et groupements, mais se réunir trimestriellement dans des villes de leur choix à travers le pays pour une à deux semaines de session parlementaire de travail afin de légiférer. Ils doivent être des professionnels, vivre des travaux de leurs mains, mais élus par le peuple à cause de leur vision, bravoure et détermination à avancer les efforts du peuple. Ils vont percevoir des paiements pour le temps et les travaux de leurs sessions trimestrielles.
4. Conclusion
Il est ici présenté au peuple congolais et au Président ou à la Présidente qui sera élu(e) aux élections de Décembre 2023 un chemin clair, jalonné par des activités à effets transformateurs immédiats. Ces activités ne nécessitent pas des financements du Fond Monétaire International ou de la Banque mondiale, mais demandent simplement du sérieux, de la bravoure, du courage et de la détermination de la part des dirigeants congolais après les élections de Décembre 2023. C’est depuis l’indépendance de la RD Congo, il y a de cela plus de soixante ans, que cette pratique honteuse des dirigeants congolais d’aller faire des courbettes au Fond Monétaire International ou à la banque mondiale pour quémander des prêts, ou aller quémander des aides bilatérales par-ci par-là, ne développe pas le pays. Après les élections de Décembre 2023, il suffit que le nouveau président ou la nouvelle présidente prenne, adopte, adapte et conduise la RD Congo sur le chemin ici présenté, et l’avancement de la RD Congo sera spectaculaire. C’est garanti. Les fonds nécessaires pour démarrer les actions sont déjà là, en RD Congo. Il est en effet estimé qu’environ un milliard de dollars illégalement quittent la RD Congo chaque année pour des comptes bancaires des individus. En outre, le pillage illégal des ressources naturelles de la RD Congo est évalué à environ deux milliards de dollars annuellement. Donc ce n’est pas l’argent qui fait défaut, c’est l’action et des braves dirigeants congolais qui font défaut. Le chemin ici présenté est jalonné par des actions transformatrices, et attend que des braves dirigeants issus des élections de Décembre 2023 puissent conduire le pays sur ce chemin, et la RD Congo en 2024 se retrouvera sur une trajectoire irréversible de développement rapide, efficace, propre et sain.
Tongele N. Tongele, Ph.D.
Docteur en génie mécanique et professeur d’université aux USA
tongele@cua.edu